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ots du Jour ne peuvent décrire la Nuit, mais la «
musique
savante » n’a pas manqué à ce désir dont elle procède. Levez-vous, or
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Il peut maudire ses astres, sa naissance, mais la
musique
est savante, vraiment, et elle nous chante immensément le beau secret
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es arts sur la vie quotidienne d’une époque. « La
musique
adoucit les mœurs ? » Je n’en sais rien, et personne ne saurait le dé
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a pleine stature et dans sa virulence totale : la
musique
seule pouvait dire l’indicible, elle a forcé le dernier mystère de Tr
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les paroles de son livret, et plus encore par sa
musique
. Il a chanté la Nuit de la dissolution des formes et des êtres, la li
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e qui signifie leur dualité créée. À ce moment la
musique
seule peut exprimer la certitude et la substance de cette double nost
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on étant « essentiellement lyrique ». Dès lors la
musique
seule sera capable d’exprimer la dialectique transcendantale, le cara
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l’appel au Jour incréé. La définition même de la
musique
occidentale, c’est l’accord émouvant des contraires. Expression d’un
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là de la mort physique. Or le drame achevé par la
musique
, c’est l’opéra. Ainsi, ce n’est point un hasard si le mythe de Trista
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xpression et des sujets qu’ils surent choisir. La
musique
seule peut bien parler de la tragédie, dont elle est la mère et la fi
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e la taille de Wagner ne met pas des « idées » en
musique
. Qu’il ait trouvé chez Schopenhauer quelques formules reprises par le
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ettre, c’est l’évidence largement déclarée par la
musique
et les paroles de l’opéra. Par l’opéra, le mythe connaît son achèveme
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che ; et il fit d’elle maintes poésies avec bonne
musique
et pauvres paroles. Et par volonté de la voir, il se croisa et prit l
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prestigieux répertoire d’un des hauts lieux de la
musique
médiévale, l’abbaye Saint-Martial de Limoges. Or il se trouve que « l
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ns mêlés. Il y a mieux : à Saint-Martial même, la
musique
, la poésie et l’érotique des Arabes étaient fort loin d’être inconnue
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ent très versés dans les lettres, la poésie et la
musique
.) Voilà qui rend beaucoup moins mystérieuse l’influence du zadjal si
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. cit., p. 92, dans son excellent chapitre sur la
Musique
des troubadours. La mélodie est notée sur la même page. Pour la suite