1
s et les articles de journaux, avec état, nation,
mystique
raciale, peuple et coutumes, ou terre natale, clocher, etc. D’où l’em
2
chose : les mêmes choses sous d’autres noms, des
mystiques
et des dictateurs. Les lieux communs sont morts et embaumés : déjà, o
3
ue actuelle s’occupe bien moins des faits que des
mystiques
dont on se sert pour masquer, à gauche et à droite, une impuissance p
4
ssance profonde à rien changer aux faits. Or, ces
mystiques
reposent sur des mots. Ces mots suffirent longtemps à départager les
5
a politique. Et que la politique, qui a tourné en
mystique
, parle pour ne rien dire ou pour dire autre chose que ce qu’elle dit.
6
grands journaux d’information. On leur impose une
mystique
confectionnée à l’usage des moujiks… Quel est l’homme sain qui oserai