1
» (notre politeuma, saint Paul). Et surtout, les
mystiques
de l’Inde, de la Chine, de la Perse, de l’islam, de la chrétienté méd
2
ais non pas du tout spirituel, dans les œuvres du
mystique
soufi Sohrawardi d’Alep (1155-1191). Ce qu’il nomme en persan Nâ-kopâ
3
. Ou enfin : « le pays où ont lieu les événements
mystiques
». C’est, chez Sohrawardi, un événement de l’âme actuellement vécu, u
4
partout au glissement de sens et d’attitude de la
mystique
à l’histoire, de « ce qui vient » sans fin à « ce qui s’établit », s’