1
ornichon : le communisme des bourgeois, c’est une
mystique
, un lyrisme, ou une croyance au chambardement libérateur. On comprend
2
s et les articles de journaux, avec état, nation,
mystique
raciale, peuple et coutumes, ou terre natale, clocher, etc. D’où l’em
3
chose : les mêmes choses sous d’autres noms, des
mystiques
et des dictateurs. Les lieux communs sont morts et embaumés : déjà, o
4
de l’avenir d’un peuple qui dispose de ressources
mystiques
aussi puissantes. Peut-être était-ce inévitable. Peut-être les bienfa
5
ions d’électeurs communistes. Il a compris que la
mystique
était plus forte que les intérêts, d’autant plus forte que la misère
6
s. Ils n’avaient pas même de bottes ! Et c’est la
mystique
« nationale » qui fit la force de l’armée du Rhin. Mais surtout Hitle
7
mée du Rhin. Mais surtout Hitler a compris que la
mystique
la plus puissante sur le peuple, serait celle qui lui offrirait la pr
8
u à l’honneur national menacé, c’est-à-dire à des
mystiques
, contre toute critique « désintéressée ». Il fallait d’abord donner l
9
llon d’une angoisse qu’on apprend à fuir dans les
mystiques
collectives. Et pour le reste, on se rassure par de faciles raillerie
10
ne mesure des États neufs, c’est au contraire une
mystique
conquérante. Mais là encore, derrière les grandes façades aux symbole
11
qu’ils n’ont pas encore pu s’en affranchir par la
mystique
au point de ne plus redouter la pauvreté. (Les civilisations à princi
12
tits, dans leur obsession d’assurances, dans leur
mystique
de la richesse, dans leur recours à l’idée d’homme moyen pour justifi