1 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Le drame de la liberté, aujourd’hui
1 ique, ou que nous essayons d’improviser quelque «  mystique  » nouvelle, nous sommes déjà battus. Pour gagner, mais alors à coup s
2 ceci : « Nous n’avons pas besoin comme vous d’une mystique qui masque les faits, nous n’avons pas besoin d’une idéologie, car no
2 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). L’anxiété de l’homme moderne
3 dre telle qu’elle est. Puisque vous n’avez pas de mystique nouvelle à nous proposer sur-le-champ, l’avenir et l’espoir sont de l
3 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Libertés « formelles » et libertés « réelles »
4 uer, nous sentirions qu’elles valent toutes les «  mystiques  » du monde, et méritent bien qu’on les défende ! Essayons de nous ima
5 ons le perdre demain, et il faudrait vraiment une mystique bien puissante et mystifiante pour nous convaincre que cette perte-là
4 1951, Les Libertés que nous pouvons perdre (1951). Contre-offensive de la liberté
6 lutions et par nos sciences, décorent du nom de «  mystiques puissantes » de simples propagandes qui nous promettent le paradis et
7 répétant que nous n’avons rien à opposer à ces «  mystiques  », qui sont au vrai des mystifications. Le temps est venu de passer à
8 u de passer à la contre-offensive. Laissons les «  mystiques  » synthétiques aux peuples qui en ont grand besoin, parce qu’ils n’on
9 ce par des slogans. Nous n’avons nul besoin d’une mystique « aussi puissante » ou « plus puissante » que les leurs. Car les fait
10 r preuve le succès des publicités, propagandes et mystiques politiques. Mais il me semble au contraire qu’il renaît dans les plus
11 ologies, et les pires tyrannies comme produit des mystiques de « libération », n’avait pas décidé de ne plus croire à rien qu’aux
12 l’absurde situation volontairement créée par les mystiques adverses. Au défi de la propagande, répondons tranquillement par des
13 go que j’opposais il y a quinze ans à une autre «  mystique millénaire », mais déjà morte : — Là où l’homme veut être total, l’Ét