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ique, ou que nous essayons d’improviser quelque «
mystique
» nouvelle, nous sommes déjà battus. Pour gagner, mais alors à coup s
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ceci : « Nous n’avons pas besoin comme vous d’une
mystique
qui masque les faits, nous n’avons pas besoin d’une idéologie, car no
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dre telle qu’elle est. Puisque vous n’avez pas de
mystique
nouvelle à nous proposer sur-le-champ, l’avenir et l’espoir sont de l
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uer, nous sentirions qu’elles valent toutes les «
mystiques
» du monde, et méritent bien qu’on les défende ! Essayons de nous ima
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ons le perdre demain, et il faudrait vraiment une
mystique
bien puissante et mystifiante pour nous convaincre que cette perte-là
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lutions et par nos sciences, décorent du nom de «
mystiques
puissantes » de simples propagandes qui nous promettent le paradis et
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répétant que nous n’avons rien à opposer à ces «
mystiques
», qui sont au vrai des mystifications. Le temps est venu de passer à
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u de passer à la contre-offensive. Laissons les «
mystiques
» synthétiques aux peuples qui en ont grand besoin, parce qu’ils n’on
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ce par des slogans. Nous n’avons nul besoin d’une
mystique
« aussi puissante » ou « plus puissante » que les leurs. Car les fait
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r preuve le succès des publicités, propagandes et
mystiques
politiques. Mais il me semble au contraire qu’il renaît dans les plus
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ologies, et les pires tyrannies comme produit des
mystiques
de « libération », n’avait pas décidé de ne plus croire à rien qu’aux
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l’absurde situation volontairement créée par les
mystiques
adverses. Au défi de la propagande, répondons tranquillement par des
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go que j’opposais il y a quinze ans à une autre «
mystique
millénaire », mais déjà morte : — Là où l’homme veut être total, l’Ét