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thentiques. Elle est devenue la loi inexorable et
mécanique
qui plie l’individu à des calculs de masses, à des disciplines extéri
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ise de la croyance des militants en l’évolution «
mécanique
». On doit admettre que les définitions de la culture que je viens de
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her la terre, scier du bois, ou monter des jouets
mécaniques
; ne veut pas dire non plus que le contact professionnel avec le maté
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démodé (voir Ruskin) qui se refuserait aux aides
mécaniques
par lesquelles l’acte de création spirituelle peut s’insérer dans le
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n faillite. On refuse le brevet aux inventeurs de
mécaniques
susceptibles d’épargner la main-d’œuvre : malthusianisme technologiqu
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er qu’une pensée qui s’abandonne au rythme de ses
mécaniques
, proprement, se prolétarise. Je veux dire qu’une telle pensée ne vit
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de certain touchant les fins dernières du progrès
mécanique
? Il ne s’est même pas posé la question. Qu’il soit en théorie philan
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ration se sont manifestés et prolongés selon leur
mécanique
propre. Et nous voici plus empêtrés qu’on ne le croirait dans le maté
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fication de l’État contre les personnes. Voilà la
mécanique
fort simple d’une harmonie préétablie entre l’ancien libéralisme et l
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e c’est l’homme qui « vit » d’un travail purement
mécanique
dont il ne possédera jamais les produits pour en disposer à son gré.
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stice n’est pas si facile. Elle ne sort pas d’une
mécanique
. Elle ne peut qu’être créée. 82. Des réalistes nous diront : oui,
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bstrait », ne laisse-t-il pas le champ libre à la
mécanique
étatiste qui tient lieu d’ordre dès que l’homme renonce à assumer per
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l’espace est entièrement déterminée par les lois
mécaniques
. Fatalement, elles nous entraînent dans une dissolution atomique : el