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ma lâcheté. Et je t’apostrophe, soudain plein de
mépris
et de désespoir, ô vie sans faute, vie sans joie… Ah ! plus amère, pl
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ons ?) 2. En vérité, ce temps est peu propice au
mépris
et à l’adoration : où que se portent nos regards, ils rencontrent des
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t… Cela demanderait certains sacrifices, certains
mépris
qui passent tellement la « mesure » parisienne — physiologique et mor