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uivie. On n’aboutit pas à l’humain en agissant au
mépris
des humains. On n’agit pas humainement si l’on ignore notre vraie con
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rche à obéir aux ordres de sa foi, fût-ce même au
mépris
de sa vie : tel est le fondement de l’attitude de service et de sacri
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onge que ce « paradis » doit être payé ici-bas du
mépris
des garanties humaines les plus élémentaires, — et toute l’histoire d
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es yeux beaucoup plus graves et significatifs. Le
mépris
dans lequel on tient aujourd’hui le théoricien est peut-être la juste
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ire : tel qu’on le laisse aller. Craignons que ce
mépris
toutefois, ne tourne en habitude, ne se fige en une convention fausse