1 1934, Politique de la personne. Introduction — En dernier ressort
1 uivie. On n’aboutit pas à l’humain en agissant au mépris des humains. On n’agit pas humainement si l’on ignore notre vraie con
2 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
2 rche à obéir aux ordres de sa foi, fût-ce même au mépris de sa vie : tel est le fondement de l’attitude de service et de sacri
3 onge que ce « paradis » doit être payé ici-bas du mépris des garanties humaines les plus élémentaires, — et toute l’histoire d
3 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
4 es yeux beaucoup plus graves et significatifs. Le mépris dans lequel on tient aujourd’hui le théoricien est peut-être la juste
5 ire : tel qu’on le laisse aller. Craignons que ce mépris toutefois, ne tourne en habitude, ne se fige en une convention fausse