1 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Décadence des lieux communs
1 de l’esprit ? 34. Les injures et les marques de mépris hautain dont se gratifient les poètes, les essayistes et les politici
2 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — La mesure nationale-socialiste
2 . On se servit du « spirituel » pour justifier le mépris où l’on était forcé de tenir la culture. On fit appel à la doctrine m
3 , outre les procédés juridiques qu’on imagine, le mépris le plus efficace pour tous les non-conformistes intellectuels, isolés
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
4 Même, il se jette d’abord vers cette grandeur, au mépris de la faim ou de la liberté ; il a suffi qu’on lui propose, souvent s
4 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
5 ou Stinnes — son affectation de vie simple et son mépris des fins humaines du crédit, et de la jouissance actuelle des biens t
6 n détruise les machines et je n’ai pas le moindre mépris pour les balances, surtout si elles sont justes. Mais je demande qu’o
5 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
7 s deux chez Diderot et Rousseau), toujours par le mépris où l’on tient les conditions de possibilité de la pensée. Dans ce com
8 ie des qualificatifs moins indulgents qui vont du mépris à la haine, de ridicule à révolutionnaire. Encore a-t-on passablement