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e » qui « vicie » ses travaux. Quelle est donc sa
méthode
à lui ? Elle consiste à lire « unitaire » là où nous disons « plurali
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omme « patrie des contradictions », etc. Bref, la
méthode
critique de votre auteur consiste à lire à rebours tous nos écrits, e
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crets, l’autre aux règles d’action commune et aux
méthodes
. Mais la volonté ou l’initiative d’un seul n’aurait aucune chance de
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t d’élaborer une constitution et des lois, et une
méthode
de pilotage quand il s’agit de gouverner entre le Charybde de l’anarc
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e la centralisation totalitaire. Cet art et cette
méthode
ne vont pas sans principes, sans techniques éprouvées, sans secrets d
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la cité au bénéfice des citoyens. Tandis que les
méthodes
totalitaires sont antipolitiques par définition, puisqu’elles consist
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ités mais taxés d’abusifs par le centre. La saine
méthode
fédéraliste consiste à distinguer dans tous les ordres, à chaque nive
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nctes. Mais ceci ne change rien au principe de la
méthode
indiquée ci-dessus, et qui consiste à distinguer dans tous les domain
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sme comme l’application à la chose publique d’une
méthode
générale de travail et de création, qui rend compte du dynamisme part
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ollectif au personnel, tel est le secret de cette
méthode
, de cette « fonction dichotomique », par définition progressiste, lib
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echnique d’organisation qui la traduise. En bonne
méthode
personnaliste, c’est d’une vision des Buts qu’il faut partir : car el
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ouvoir fédéral sont déterminées en fonction de la
méthode
dichotomique définie plus haut. Outre que la fédération assure les li
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us avancées. D’autre part, le fédéralisme est une
méthode
d’organisation politique qui a fait ses preuves notamment en Suisse e
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rtis, à supputer les conséquences des principales
méthodes
d’union possibles : — unification économique transposée au plan polit
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u nom. C’est aussi, et c’est même avant tout, une
méthode
de composition des valeurs diversifiées, — et voilà, me semble-t-il,
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de langues, de moyens d’expression plastiques, de
méthodes
, de doctrines, d’écoles, etc. — et il faut quelque chose qui lie tout
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e très opportune qui nous réunit. Deux erreurs de
méthode
menacent toute tentative de réveil culturel en Suisse romande : l’esp
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u nom. C’est aussi, et c’est même avant tout, une
méthode
de composition des valeurs diversifiées, — et voilà, me semble-t-il,
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de langues, de moyens d’expression plastiques, de
méthodes
, de doctrines, d’écoles, etc. — et il faut quelque chose qui lie tout
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sterait à étendre au plan politique les règles et
méthodes
de l’intégration déjà réalisée au plan économique par le Marché commu
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e entre le fédéralisme comme objet d’études et la
méthode
interdisciplinaire qui s’impose à nous. Car le fédéralisme n’est pas
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quel il s’agirait de plier les réalités, mais une
méthode
générale d’aménagement des choses humaines, méthode d’allure pragmati
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thode générale d’aménagement des choses humaines,
méthode
d’allure pragmatique qui ne se comprend et ne s’explique bien que par
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éralistes. Il rejoindra de la sorte les études de
méthode
et d’évaluation des tendances politiques vers l’intégration, réunies
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les adeptes, c’est une attitude de pensée et une
méthode
de conduite, plus qu’une doctrine ou une notion juridique ; une expér
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s dictionnaires échouent à le définir en tant que
méthode
, et pas seulement comme un système politique. La plupart nous renvoie
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le)11 ». Quant aux partisans du fédéralisme comme
méthode
ou attitude, et des régimes qui s’en inspirent, nous constatons qu’il
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oit des gens, tome I, paru en 1932, généralise la
méthode
fédéraliste et l’étend à toutes les structures intersociales, qu’elle
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e chose qu’on oublie complètement aujourd’hui. La
méthode
d’enseignement, de recherche, de discussion, à la Sorbonne par exempl
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discussion, à la Sorbonne par exemple, c’était la
méthode
introduite par Abélard qui s’appelait le « sic et non », le oui et le
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ntiellement une contestation. On a même défini la
méthode
scolastique comme étant essentiellement une discussion libre et ouver
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tomber dans ce penchant vicieux. J’ai proposé une
méthode
d’analyse des situations pour savoir quand il y a lieu de se plaindre
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ode qui est une perte, qui est défavorable. Cette
méthode
peut être discutée ; il s’agit surtout de l’appliquer, mais je refuse
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coller » du sol, pour devenir de plus en plus une
méthode
de résolution de chaque problème selon ses dimensions et à son niveau
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droit de penser que l’application correcte de la
méthode
fédéraliste rétablirait bientôt ce double mouvement de diastole et de
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nir historico-politique — source principale de la
méthode
marxienne — de même le modèle de la co-existence des deux natures « s
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maines d’existence, quels seront les principes de
méthode
dictés par le souci fédéraliste de respect des diversités, des condit
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e des combinaisons auxquelles peut conduire cette
méthode
a de quoi donner le vertige aux fonctionnaires de tradition unitaire.
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s pour toutes ce conflit permanent. Il y faut une
méthode
vivante, celle que j’ai dite : sans cesse évaluer à nouveau les dimen
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ancées, le moyen de leur composition. En tant que
méthode
générale d’aménagement des relations humaines, le fédéralisme tel que
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er seul, sans Gustave Moynier notamment, homme de
méthode
et d’organisation dont l’appui fut décisif, ou sans le général Dufour