1
Beaucoup commencent à douter de la valeur de ces
méthodes
qui se disent réaliste, opportuniste ou empirique, mais qui ne sont e
2
en. Trop souvent, nos maîtres nous ont fourni des
méthodes
d’évasion dans la complexité. Trop souvent ils nous ont mis en garde
3
masse, des prolétaires ou des bourgeois, la seule
méthode
qui réussisse est la violence. L’idéalisme et la révolution, toutes l
4
ues sur le compte des hommes d’aujourd’hui et des
méthodes
opportunistes que l’on vante. Il a considéré la somme des réussites e
5
a conception de l’histoire ; sa dialectique ; ses
méthodes
politiques et sociales. Je puis leur reconnaître une part importante
6
pas que, sur ce terrain, les graves objections de
méthode
que je faisais tout à l’heure ne soient plus valables. Là encore, le
7
ctive. D’autres vous montreront l’erreur de cette
méthode
, et qu’en réalité, si la libération n’est pas déjà présente dans l’ac
8
ntons pas en France. Nous nous élevons contre une
méthode
de gouverner imaginairement transposée dans nos mœurs. Personne encor
9
pas à dénoncer les excès trop connus de certaines
méthodes
« d’ordre ». Il y a des excès partout41 ; la malfaisance d’un régime
10
hérence étroit, pauvre et stérilisant. Toutes les
méthodes
fascistes procèdent de cette erreur fondamentale, erreur spirituelle
11
s radicale. Un mot résume le fascisme en tant que
méthode
d’extension, par la force, d’un principe de soi sans puissance : c’es
12
nsée » bourgeoise (la pensée sans douleur !), des
méthodes
policières grâce auxquelles se maintient le désordre établi. Mais nou
13
troupe d’assaut reste l’expression adéquate d’une
méthode
de gouvernement antipersonnaliste, démocratique au mauvais sens du te
14
édération sur pied d’égalité. Ainsi encore, notre
méthode
dichotomique — que beaucoup ont tant de peine à comprendre — est la m
15
beaucoup ont tant de peine à comprendre — est la
méthode
politique par excellence, au sens que nous venons de donner du politi