1
urer son existence économique. Cet individualisme
national
, qui tend nécessairement à l’autarcie, constitue aujourd’hui le pire
2
rale est devenue la seule garantie des autonomies
nationales
. Ce n’est qu’en surmontant nos divisions que nous sauverons notre div
3
nt ans, ce n’est qu’un septième de notre histoire
nationale
; que celle-ci ne s’étend que sur le dernier tiers de l’ère chrétienn
4
commune et l’entreprise d’abord, puis à l’échelle
nationale
, puis au plan européen, et finalement au plan mondial nous savons bie
5
t enfin le dogme et la pratique des souverainetés
nationales
absolues. Et c’est pourquoi nous demandons et préparons, comme premie
6
romanche, et de l’avoir élevée au rang de langue
nationale
, bien qu’elle ne soit parlée que par moins d’un centième de la popula
7
un siècle, sont la base même de leur indépendance
nationale
, de leur prospérité et de leur paix ? L’exemple des adventistes, et d
8
oit se tenir fin octobre à Lausanne. Des rapports
nationaux
, préparés par les « Groupes d’étude culturels », en formation dans ch
9
iant les forces et les faiblesses de nos cultures
nationales
, se dégageront deux séries de conclusions : les unes portant sur ce q
10
enquête dans nos divers pays. Chacun des groupes
nationaux
du Mouvement européen a reçu d’abord un questionnaire sur l’état des
11
ocuments. Sur la base d’une quinzaine de rapports
nationaux
, d’une trentaine de rapports spéciaux, et des documents précités, le
12
e réalisée. Nos cultures, prisonnières des cadres
nationaux
, ne doivent pas chercher des moyens de correspondre un peu plus facil
13
poir et de l’isolement, la mort des ressentiments
nationaux
» ? Hélas ! Diagnostiquer une maladie mortelle, et conseiller certain
14
t abolir la cause du mal, qui est la souveraineté
nationale
. Ces autres qui savent ce qu’ils veulent, qui disent clairement leur