1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
1 ’Ordre, le Bien Public, la Richesse, la Puissance nationale , l’Honneur, l’Esprit, l’Amour, la Civilisation, — les lieux communs d
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
2 seuls peuvent briguer l’inspectorat de la Sûreté nationale . Il serait faux de dire qu’on paie l’esprit. C’est bien plutôt l’abse
3 rojetée doublera très inutilement la Bibliothèque nationale , ou bien, et c’est le plus probable, elle contiendra ce que je dis :
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
4 ruine de l’individualisme. Là où nulle conscience nationale ne pouvait plus soutenir les hommes, cette ruine a laissé le champ li
5 munisme, national-socialisme. Mais là où le cadre national existait depuis un ou deux siècles, ces religions ne sauraient comble
6 nous apporte au moins l’équivalent des dynamismes nationaux . Nous avons des valeurs à défendre. Mais nous avons surtout des valeu
7 t non la tyrannie d’un seul, et non le gigantisme national . La société doit être un corps, non pas une construction mécanisée. E
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Robert Briffaut, Europe (janvier 1937)
8 tout vraisemblable — on a bien cru à l’« honneur national  » ! — est évidemment symbolique. L’on est censé conclure de ce brilla
5 1937, Esprit, articles (1932–1962). Jacques Benoist-Méchin, Histoire de l’armée allemande depuis l’armistice (mars 1937)
9 voir, de « l’homme à poigne » touché par la grâce nationale , et qui se charge d’écraser la révolution avec une brutalité qu’aucun
6 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
10 r la veine « J’avais pris un billet de la Loterie nationale . Naturellement j’ai perdu ! Moi vous savez… Ce n’est pas comme Céline
7 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
11 anlés, nos sécurités matérielles, ou sociales, ou nationales . Ce que personne n’a jamais eu l’idée de mettre en question parmi nou
12 tempestives que nous prodiguons chaque jour aux «  nationaux  » de tel pays ou aux « rouges » du monde entier. D’autant plus que ce
13 ntérêts de classe qui ne sont ni démocratiques ni nationaux . La même critique peut d’ailleurs s’adresser à notre presse d’extrême
14 cismes se donnent pour but d’exalter leur mission nationale . Quelles que soient les réserves de fond qu’il y ait à faire, et je l
15 ison sur le fait que nous n’avons pas une culture nationale unifiée, mais des cultures diversifiées, régionales ou étrangères. Un
16 stence vraiment autonome. Le budget de la défense nationale dans un pays dont la vraie raison d’être est en fin de compte spiritu
8 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
17 s cadres, l’économie périclitait, et la « défense nationale  » ne pouvait pas s’organiser sans un constant recours à la passion de
18 ’une décharge passionnelle au niveau collectif et national , paraît aujourd’hui plus probable. Enfin, l’on peut encore imaginer q
9 1938, Esprit, articles (1932–1962). Revue des revues (septembre 1938)
19 ve des auteurs de ce Manifeste à l’égard du Parti national Breton et de ses doctrines corporatistes et paternalistes. Au total,
10 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
20 . À partir de la Révolution, la guerre devenant «  nationale  » exige la collaboration de toutes les forces créatrices, et en parti
21 rticulier de la technique. C’est alors la passion nationale et guerrière qui va devenir le principal moteur de la recherche mécan
11 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
22 par un bénéficiaire éprouvé de la tradition dite nationale … Et si nous ne sommes pas là pour consentir un prêt, payant la casse
12 1948, Esprit, articles (1932–1962). Thèses du fédéralisme (novembre 1948)
23 tiative de se fédérer en dehors des gouvernements nationaux . Et ce sont ces groupes et ces personnes qui formeront le gouvernemen