1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 aussi humaine. Elle quitte à tout propos la route nationale pour des chemins secondaires ou des ruelles à peine plus larges que l
2 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
2 inacceptable et inavouable (à cause de l’orgueil national ). C’est le monde qui doit être mal fait ! Car nous y sommes brimés, n
3 doit résulter un sentiment de manque d’assurance nationale . La vraie Allemagne ne peut pas être celle qui a subi la « blessure »
3 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Mouvement européen (avril 1949)
4 s. On y retrouvait toutes les nuances politiques, nationales et religieuses qui font la richesse de l’Europe, et qui la rendent si
5 ettant un terme au règne féodal des souverainetés nationales absolues. La position dite britannique (en fait, celle de M. Bevin) t
6 ui ne porteront aucune atteinte aux souverainetés nationales , et ne troubleront pas l’économie travailliste dans son austère insul
4 1949, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Découverte de l’Europe (octobre 1949)
7 onsisté dans un clivage vertical, par délégations nationales . Le règlement l’a prévenu, fort heureusement. Les députés siègent en
8 en effet par ordre alphabétique, non par groupes nationaux . Ils votent individuellement. Et l’on n’a pas remarqué qu’un mot d’or
9 ement. Et l’on n’a pas remarqué qu’un mot d’ordre national — s’il en fut jamais donné — ait été suivi même par les Britanniques.
10 ns près). Mais cette manière d’éviter le danger «  national  » risquait d’en créer un nouveau : le clivage horizontal de l’Assembl
11 certaines limitations précises des souverainetés nationales . (Et pour ma part, je m’explique mal comment M. Churchill peut à la f
12 rs que détiennent les ministres étant strictement nationaux , leur addition ou juxtaposition n’irait-elle point créer, sur le plan
13 proposeront, mais les gouvernements et parlements nationaux en disposeront. Et qui dispose de ces divers pouvoirs, sinon l’opinio
5 1950, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Europe et sa culture (novembre 1950)
14 tivement isolés, il faut rattacher les diversités nationales , dont nous avons tiré si grand parti avant que le phénomène de l’état
15 de l’économie, de la politique, ou de la défense nationale  ? Et que personne ne s’avise de soutenir qu’il faudrait inverser cett
16 ment et pratiquement de la primauté dans nos vies nationales , soit qu’elle se laisse subordonner aux intérêts économiques ou polit
17 trop étroit de chaque nation et de chaque budget national  : problèmes des recherches atomiques, du cinéma, de la télévision, de
18 l’on constate qu’aucun de nos instituts culturels nationaux ne peut parler, actuellement, au nom de l’Europe dans son ensemble al
6 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
19 pour l’homme de culture en tant que tel, le stade national est sauté. Cas unique, dans l’Europe moderne. J’ose y voir le plus gr
7 1969, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’avenir du fédéralisme (septembre 1969)
20 s, ou celle d’une renaissance des particularismes nationaux  ? Je répondrai : dans les deux à la fois, et cela n’est pas contradic
21 , projet attribué aux girondins de rompre l’unité nationale et de transformer la France en une fédération de petits États. » Pour
22 terme que le problème européen et nos situations nationales nous amènent à utiliser quotidiennement. Mais pas du tout : le malheu
23 et l’unité correspondante (communale, régionale, nationale , continentale ou mondiale, selon les cas), il ne reste qu’à désigner