1 t cédé à ces penchants que l’on peut bien appeler nationaux , son œuvre eût sans conteste mérité le qualificatif d’allemande. Or s

2 ble en français. Nous touchons ici à la constante nationale la moins discutable, le langage. Il serait très insuffisant de dire q

3 rand — et nous venons de dire de quelle grandeur, nationale en son origine — qu’il vaut pour nous aussi. C’est parce qu’il a été

4 c’est, au second degré, parce qu’il a une valeur nationale que l’on peut parler de s ?, valeur internationale. Si une telle affi

5 ous les sommets réside la paix. 18. « Les haines nationales sont des vices de populace », disait Goethe. Je n’oublie pas, d’aille

6 rs les élites qui ont pris conscience des valeurs nationales en voyageant, en comparant. Mais il est clair que si ces élites adopt

7 inacceptable et inavouable (à cause de l’orgueil national ). C’est le monde qui doit être mal fait, car nous y sommes brimés, no

8 doit résulter un sentiment de manque d’assurance nationale . La vraie Allemagne ne peut pas être celle qui a subi la « blessure »