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corporelle. Le jeu mutuel de plusieurs caractères
nationaux
différents et même opposés ; l’esprit de liberté tant civil que polit
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ont devenir, d’une manière avouée, particulières,
nationales
, donc séparatistes. À la mesure des prétentions dynastiques, régional
3
première fois les droits « souverains » de l’État
national
. Comment se situe Dante dans ce drame ? Pour lui, le pape est la sou
4
que le pape est désigné par cet avocat de l’État
national
pour être le juge suprême dans les litiges des princes superioris in
5
inentale, limitant expressément les souverainetés
nationales
tout en garantissant l’autonomie des États membres. Il porte création
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aurer un pouvoir supérieur à celui des souverains
nationaux
, ils se contentent de vitupérer la guerre et de ridiculiser ses préte
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pourraient que dévaster l’Europe par des guerres
nationales
, puis totales ? Il est mieux inspiré lorsqu’en 1530, dans sa Consulta
8
merce — diamétralement opposée au protectionnisme
national
qui commençait à s’appesantir sur l’économie de l’Europe — supposait
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te. Les Anglois ont pourtant aussi leurs préjugés
nationaux
; ils en ont même plus que personne ; mais ces préjugés tiennent moin
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oppose un particularisme résolu, qu’il appelle «
national
», mais qui est en réalité local ou communal, comme on le verra par l
11
e puissent vous digérer… Ce sont les institutions
nationales
qui forment le génie, le caractère, les goûts et les mœurs d’un peupl
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les mêmes mœurs, parce qu’aucun n’a reçu de forme
nationale
par une institution particulière… Que leur importe à quel maître ils
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er que leur patrie ! L’éloge de cette « éducation
nationale
» ne se lit pas aujourd’hui sans quelque inquiétude : C’est l’éducat
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est l’éducation qui doit donner aux âmes la forme
nationale
, et diriger tellement leurs opinions et leurs goûts, qu’elles soient
15
: et s’il n’est pas mort, il est pis. L’éducation
nationale
n’appartient qu’aux hommes libres ; il n’y a qu’eux qui aient une exi
16
cisément ce langage qui trompe. Car en écrivant «
national
», Rousseau pense à tout autre chose qu’à ce qu’évoque pour nous cet
17
s préfèrent à ce fédéralisme intégral la grandeur
nationale
(au sens moderne cette fois), alors, qu’ils suivent l’exemple du rest
18
ils centralisent tout cela au nom de la puissance
nationale
: De cette manière, vous formerez un peuple ingrat, avide, servile e
19
né à examiner l’une après l’autre les composantes
nationales
de son Tableau, comme vient de le faire Voltaire dans son Essai sur l
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qui a changé : décrivant telle ou telle évolution
nationale
, il mentionne l’Europe à chaque page. Edward Gibbon (1737-1794) ne se
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ent acheté cette union par la perte de la liberté
nationale
et de l’esprit militaire. Renonçant à tout sentiment de vigueur et d’
22
ion le Projet de décret suivant : La Convention
nationale
voulant mettre un terme aux erreurs, aux inconséquences, aux prétenti
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que de son pays ; je veux cette espèce d’égoïsme
national
sans lequel nous trahirons nos devoirs, sans lequel nous stipulerons
24
on même de ses premiers principes : à l’« égoïsme
national
», au nationalisme agressif. On ne saurait assez souligner l’importan
25
, projet attribué aux girondins de rompre l’unité
nationale
et de transformer la France en une fédération de petits États. — Aux
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s : — la simplicité du gouvernement, la frugalité
nationale
, et la paix. La réflexion m’a convaincu de la vérité des propositions
27
erté lorsqu’elle n’est inspirée que par l’égoïsme
national
, sacralisé sous le nom de « patriotisme » : La voix de la nation ne
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alifiés de vertueux, dans la poursuite d’intérêts
nationaux
. Que celui qui a jamais lu un journal anglais ose déclarer qu’il n’en
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rs menacé, entre l’idéal chrétien et les réalités
nationales
, entre la communauté des Européens et les prétentions des Puissances.
30
des lois, des langues, des mœurs, des caractères
nationaux
, qui a fait de chaque pays et nation un « tout » isolé, élevant entre
31
Un intérêt plus vif, plus immédiat que l’intérêt
national
ou que l’amour de la patrie, sans rapport aucun avec la vie civique,
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chte veut l’instaurer par la contrainte de l’État
national
autarcique. Partant de l’idée de société des peuples libres, Fichte c
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rculation et échangée contre une nouvelle monnaie
nationale
, c’est-à-dire n’ayant cours que dans le pays même, mais dans celui-ci
34
squ’ici pour les étrangers à des travaux pour les
nationaux
, de la manière convenable. Il ne cherche pas en effet à acquérir une
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patrie et tout ce qui est de la patrie, l’honneur
national
se développera très vite, à un degré élevé, ainsi qu’un caractère nat
36
rès vite, à un degré élevé, ainsi qu’un caractère
national
nettement marqué. Ce sera une autre nation, absolument nouvelle. Cett
37
lument nouvelle. Cette introduction d’une monnaie
nationale
en est véritablement la création… Un seul lien devra subsister entre
38
olitique, en conservant à chacun son indépendance
nationale
. Sans même tenir compte de l’influence que Saint-Simon devait exerce
39
al qui était aux peuples ce que les gouvernements
nationaux
sont aux individus : un pareil état de choses est le seul qui puisse
40
t général placé au-dessus de tous les gouvememens
nationaux
et investi du pouvoir de juger leurs différens. … Il en est du gouver
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du gouvernement européen, comme des Gouvernemens
nationaux
, il ne peut avoir d’action sans une volonté commune à tous ses membre
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cette volonté de corps qui, dans un gouvernement
national
, naît du patriotisme national, dans le gouvernement européen ne peut
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ans un gouvernement national, naît du patriotisme
national
, dans le gouvernement européen ne peut provenir que d’une plus grande
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er les intérêts de l’Europe, au lieu des intérêts
nationaux
, sera pour ceux qui doivent former le parlement européen, un fruit né
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vaux dont l’utilité n’est point bornée aux usages
nationaux
, et se répand sur tous les peuples, sont plus capables d’arriver bien
46
nd parlement. Un code de morale tant générale que
nationale
et individuelle, sera rédigé par les soins du grand parlement, pour ê
47
’intérêt général, avant de descendre aux intérêts
nationaux
; alors les maux commenceront à devenir moindres, les troubles à s’ap
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ra toujours davantage173. Le terme de littérature
nationale
ne signifie plus grand-chose aujourd’hui ; nous allons vers une litté
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bon, appartiennent au monde entier175. … La haine
nationale
est quelque chose de singulier. Vous la trouverez toujours plus forte
50
brement du Saint-Empire, l’apparition des églises
nationales
, la Révolution, et finalement « l’empire de Satan », celui de Napoléo
51
l’ensemble, par le moyen des quatre grands duchés
nationaux
soumis à la suzeraineté d’un seul roi ou empereur ; quoique là aussi
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à côté de lui, que dans la tendance chrétienne ou
nationale
; et tant que cette tendance resta inaltérée, l’ensemble demeura inéb
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récisément contenues en germe dans les assemblées
nationales
des États, grands et petits, de ce temps-là, dans les conciliabules e
54
naires inspirés. Elle va trouver grâce aux poètes
nationaux
et militants de 1848 ses traductions lyriques et populaires, en terme
55
t Jeune Europe, qui voulait utiliser les passions
nationales
au service de l’idée fédéraliste, voit l’inverse se réaliser. Jamais
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pour but d’instituer les différentes chrétientés
nationales
», écrivait-il en 1843, dans un ouvrage publié à Bruxelles : De la pr
57
ître. On conçoit que pour ces quatre pays, l’idée
nationale
se confonde irrésistiblement avec l’idée de liberté et s’harmonise av
58
t de l’Espagne, ces aînées, ces modèles de l’État
national
fortement constitué et qui ne veut rien devoir à personne ? Les deux
59
t ainsi — mais dans l’imaginaire — la dialectique
nationale
du romantisme politique. Parce qu’il n’est pas suspect de nationalism
60
que toute autre la grandiose ambiguïté de l’idée
nationale
. Cette généreuse et sincère volonté de se perdre dans l’universel, de
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ôt de conjurer les méfaits pressentis de passions
nationales
qu’on a trop lyriquement célébrées pour oser s’y opposer autrement. C
62
n va lire doit sceller l’union de ces groupements
nationaux
et républicains : JEUNE EUROPE Liberté — Égalité — Humanité ACTE DE
63
Nous étant auparavant constitués en Associations
nationales
libres et indépendantes : noyaux primitifs de la Jeune Italie, de la
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et signée concordément par les trois associations
nationales
… Elle définira les croyances, le but et la direction générale des tro
65
nt lieu en sa faveur. V La réunion des Congreghe
nationales
ou des délégués de chacune d’elles constituera la Congrega de la Jeun
66
e même, le signant par l’entremise de sa Congrega
nationale
. Fait à Berne (Suisse), le 15 avril 1834. Tout l’espoir de 1848 est
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mmunale et provinciale, mais même individuelle et
nationale
. Une conséquence de ce fait, c’est que, le système unitaire étant l’i
68
ste français ; ils tirent tout de leur expérience
nationale
et professionnelle. Le problème du fédéralisme européen se trouve ain
69
’Europe, cette « transfiguration » d’une vocation
nationale
dont rêvait Hugo pour la France et Mazzini pour l’Italie ; mais voilà
70
t de s’y fondre, accomplissant ainsi une vocation
nationale
, universelle ? Non, disent les Russes, c’est à la Russie ! Pour la pl
71
ami Engels, il salua les mouvements de libération
nationale
des Polonais, des Hongrois et des Allemands (tous écrasés par les int
72
oscovie inculte, ce même Schiller était bien plus
national
et beaucoup plus cher aux Russes barbares non seulement qu’à la Franc
73
cibles, justement grâce à l’unité de notre esprit
national
et de notre conscience nationale. Nous ne sommes pas la France qui es
74
é de notre esprit national et de notre conscience
nationale
. Nous ne sommes pas la France qui est tout entière dans Paris, nous n
75
squ’il est le plus européen. C’est la distinction
nationale
la plus essentielle qui nous sépare de tous les autres, et, à cet éga
76
ur l’unité foncière de l’Europe les souverainetés
nationales
absolues : Cependant, celui qui s’efforce de ne voir qu’une simple t
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lus en plus grande que prennent les souverainetés
nationales
, ignore complètement ce que le tocsin annonce. En effet, à la suite d
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problèmes historiques et moraux que pose le fait
national
. À l’idée romantique et herdérienne d’une nation fondée sur la race,
79
ur — l’impétuosité toujours vivace du « sentiment
national
» en fait partie, de même l’anarchisme montant : ce phénomène aboutir
80
n donner une preuve —, des heures d’effervescence
nationale
, d’angoisse patriotique, des heures où bien d’autres sentiments antiq
81
t de tomber au rang médiocre d’une chose purement
nationale
.255 Le nationalisme est issu du romantisme, par une fatalité à laqu
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aujourd’hui à l’Europe, dans l’excès de son génie
national
, comme la véritable école et le théâtre du scepticisme dans ce qu’il
83
qui se passe au fond : la disparition de l’homme
national
et l’apparition de l’homme européen. et dans la Volonté de Puissance
84
ient : le nationalisme […]. Certes, les tendances
nationales
ont aussi servi la culture, en ce sens qu’elles ont permis de surmont
85
étiques ; elle transforme rapidement le sentiment
national
en un instinct qui échappe au contrôle de la raison. Du même coup, le
86
i vient favorisera-t-il l’apaisement des passions
nationales
, nul ne peut le prévoir à l’heure où j’écris. Il semble au moins auss
87
était moins précieuse qu’un drapeau, qu’un chant
national
, qu’un dialecte, qu’un tracé de frontière, qu’un nom de bataille à in
88
commun européen : « Au-delà de toutes ces guerres
nationales
, de ces « empires » et de ce qui occupe le premier plan, je vois plus
89
e faiblesse, qu’ils retombèrent dans l’étroitesse
nationale
et devinrent patriotes. Je pense à des hommes tels que Napoléon, Goet
90
res des patries, les saintes héroïnes, les poètes
nationaux
… Et dans le même désordre mental, à l’appel de la même angoisse, l’Eu
91
re pauvres et riches, le conflit entre idolâtries
nationales
opposées, l’absence de communes mesures et de doctrines invariables l
92
au plus, la leur conservait cristallisée, l’idée
nationale
plus purement dynamique exige la permanence active de cette pluralité
93
que pendant longtemps la volonté des séparatismes
nationaux
n’exista point. Il ne venait à l’idée d’aucun étudiant parisien au xi
94
de ce fait, de son opposition aux particularismes
nationaux
, n’existait pas. Ce qui, au contraire, est très vite apparu en tant q
95
lonté des savants de parler désormais leur langue
nationale
et non plus le latin, qui les unissait par-dessus leurs nations ; cel
96
ager leur idiome de ce qu’il pouvait avoir de non
national
… Nous allons pourtant voir apparaître dans ce passé une époque qui a
97
nt une valeur supérieure aux cultures étroitement
nationales
; ces hommes dont Voltaire écrivait en 1767 qu’« il se forme en Europ
98
nt enrayé par le xixe siècle au nom des cultures
nationales
; en Allemagne, par les Schlegel, les Lessing, les Görres, avec leurs
99
à est l’Europe. Si elle est conçue dans la sphère
nationale
, elle ne demande qu’à s’épanouir dans l’universel. Aujourd’hui, comme
100
ncontre en lui, le Grec, des traits de caractères
nationaux
les plus divers, français, anglais, allemand, italien… S’il renaissai
101
omaine est devenue bureaucratique ; des Églises «
nationales
» se sont constituées dès le xiiie siècle (et non pas dès le xvie s
102
able que, par suite des diversités individuelles,
nationales
et liées au temps, la foi unique soit devenue très tôt la terre nourr
103
orces dispersées jusqu’ici dans le fractionnement
national
, se mettre au niveau des récents, jeunes et gigantesques protagoniste
104
ous en avons pris pour étudier nos individualités
nationales
. … Le fait que cette vérité n’est pas généralement admise est dû avan
105
résent les conséquences dans les folles rivalités
nationales
qui menacent de ruiner l’économie de l’Europe entière. … Le mal du na
106
ons du passé, ni dans sa revendication de l’unité
nationale
et du droit des peuples à disposer d’eux-mêmes, mais bien plutôt dans
107
s fondements de notre culture sont non pas l’État
national
, mais l’unité européenne.310 C’est à démontrer cette thèse que se s
108
les principes qui leur sont communs : L’éternel
national
nous semble un concept à manier avec prudence… L’histoire européenne
109
européenne ne s’explique point par les histoires
nationales
considérées comme des « monades sans fenêtres », des entités immuable
110
bles : elle n’est pas la somme de leurs histoires
nationales
juxtaposées. C’est l’Europe, au contraire, qui est antérieure et qui
111
e uniquement de ce que nous sommes, en tant que «
nationaux
», et que, par un artifice quelconque, on extirpait du Français moyen
112
possible de vivre avec ce maigre recours purement
national
, mais que les quatre cinquièmes de son avoir intime sont des biens de
113
plus profond et plus organique que celui du fait
national
. Paul Valéry, tentant de définir l’Europe, ne mentionne même pas la n
114
raire des réalités politiques et survoler le fait
national
. En pleine Deuxième Guerre mondiale, il fallait au contraire un certa
115
pour le développement et l’unification des États
nationaux
, l’électrotechnique, le moteur, l’avion, la radio et l’énergie jailli
116
oyens s’opposent les frontières et les structures
nationales
et économiques qui entravent l’échange des hommes et des biens. Ceci
117
us faisait considérer comme le plus « typiquement
national
» et le plus fermé aux échanges318 : L’unité de la culture européenn
118
bilité d’interpréter aucune de nos « littératures
nationales
» en l’isolant artificiellement des autres, comme le font encore nos
119
ce assiégée. Il lui faut pour cela des industries
nationales
et des cordons douaniers. Seule, la substitution de l’arbitrage oblig
120
réer pour faire droit, en Europe, aux aspirations
nationales
… C’est sur le plan de la souveraineté absolue et de l’entière indépen
121
ut entière et l’épanouissement autonome de la vie
nationale
. Ces buts ne peuvent être atteints que si les divers pays du monde ac
122
et la suppression des monopoles et des autarcies
nationales
. Seule une Union fédérale permettra la solution logique et naturelle
123
de ce gouvernement et excluant toute autre armée
nationale
. 3. Un tribunal suprême qui jugera toutes les questions relatives à l
124
oussignés s’engagent à considérer leurs problèmes
nationaux
respectifs comme des aspects particuliers du problème européen dans s
125
ets d’Aristide Briand. La conférence des délégués
nationaux
, le comité politique, le secrétariat permanent et le tribunal europée
126
parties. (d) Les questions relatives à la défense
nationale
ne sont pas de la compétence du Conseil de l’Europe. En revanche, tr