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e question pratique d’aménagement, relevant de la
nature
même de l’homme, ce composé d’automatismes et de libres pulsions, cré
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ée par des vitraux livides et plus sulpiciens que
nature
. L’autel est dominé par des boiseries sombres, ornées de branches de
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ctuelle et auront entre elles des liens de toutes
natures
. Elles constitueront de proche en proche un tissu plus solide que le
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ous voulons survivre, qui détruisent à la fois la
Nature
et la Communauté des hommes, au nom du prestige de l’État, vanité col
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pent à la fois l’agression industrielle contre la
Nature
et l’agression étatique contre la société coutumière. C’est le moment
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ses agressions de plus en plus brutales contre la
Nature
et contre l’homme qui vit de la Nature et en elle1. 3. Une réactio
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contre la Nature et contre l’homme qui vit de la
Nature
et en elle1. 3. Une réaction nécessaire : la sécrétion d’anticorps
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ci de ceux qui ont déchaîné la dénature contre la
nature
. De ceux qui ont inventé et produit une civilisation qui tend à détru
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analogie de structure entre l’agression contre la
nature
et l’agression stato-nationale contre les communautés locales ou ethn
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sources non renouvelables. Tout État-nation, par
nature
, s’oppose identiquement à ce qui le dépasse tant par en haut que par
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u’ils savent ? Que l’homme soit responsable de la
Nature
vivante, et de sa corruption ou de sa survie, l’écologie nous l’a rap
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rreur a distrait la méfiance des saccageurs de la
Nature
, et elle nous a permis d’agir en profondeur. Mais la responsabilité d
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deur. Mais la responsabilité de l’homme devant la
Nature
et les bêtes n’est pas seulement métaphorique et poétique : elle est
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de l’animal à l’homme, j’entends de l’homme à la
Nature
vivante et au Cosmos, où le règne animal est le plus proche de l’homm