1 sent les lois de la Création, l’ordre divin et la nature de l’homme. Et voici le deuxième temps de la tentation : La femme vi

2 r en soi, — apparence encore, mais active, contre nature devenue seconde nature. Et c’est à ce moment-là que Baudelaire peut é

3 ncore, mais active, contre nature devenue seconde nature . Et c’est à ce moment-là que Baudelaire peut écrire : L’homme et la

4 travers. Il peut être un agent responsable de la nature naturante, mais il peut aussi faire la grève, se révolter, et fabriqu

5 ’en finirions pas de commenter, conformément à la nature du sujet. Bornons-nous à marquer trois directions de pensée : nous le

6 arle. Certes, le péché étant devenu notre seconde nature , il peut sembler qu’il agit de soi-même et sans Auteur, en vertu d’un

7 eloppe pendant un discours ? Une énergie de cette nature , on sent très bien qu’elle n’est pas de l’individu, et même qu’elle n

8 moyens matériels et militaires, conformément à la nature du péril. Si quelqu’un met le feu à une maison, il faut des pompiers,

9 otre liberté, dans nos données premières, dans la nature et dans la définition même de l’homme en tant qu’il est humain. Nous

10 ictions que mettent la société, la charité, et la nature elle-même, — que ces interdictions soient « légitimes » ou non. Passe

11 que dans la femme, c’est sans doute moins dans sa nature que dans sa faculté d’oublier cette nature, de se tromper sur elle, o

12 ans sa nature que dans sa faculté d’oublier cette nature , de se tromper sur elle, ou de laisser les autres s’y tromper. Qu’ell

13 la femme à une autonomie que ne prévoyait pas sa nature . Insensiblement, l’homme renonce à exercer son rôle de chef. La femme

14 iales des deux sexes, à partir d’un mensonge à la nature  ? L’expérience millénaire du couple permet d’imaginer ce qui va se pa