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tent, par là même, équivoques. Et cela tient à la
nature
de la personne qui s’y révèle. ⁂ S’il est vrai que la personne pure c
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tre, en un seul acte, en une seule œuvre, de deux
natures
distinctes ou même contradictoires, d’une forme et d’un agent transfo
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. Que leur ton soit parfois tendu appartient à la
nature
même du sujet que j’ai embrassé : la tension créatrice des personnes.
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de celui qui, tout enfant, édifiait un autel à la
Nature
, trouvait son aliment dans une méditation renouvelée des rose-croix,
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s aveugle pour d’autres formes d’existence que la
Nature
se voit pour ainsi dire contrainte d’assigner à l’homme actif 3, l’on
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Oublier tout de ses enchantements. Je ne serais.
Nature
! devant toi rien qu’un homme. Alors il vaudrait bien la peine d’être
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e d’un chêne géant. Tout ici est organe, tout est
nature
. Et Goethe l’a su. Mais quand nous contemplons de loin cet arbre véné
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nt assimilable pour un latin par exemple. Mais la
nature
spécifique de l’effort goethéen, cette lutte contre ses données anarc
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dire si conformes à la loi la plus profonde de sa
nature
. Ces dix années où, pour reprendre la comparaison du chêne, Goethe se
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une pensée suffisamment stérile et désabusée par
nature
pour que son exercice n’entraîne rien « d’impur ». S’il a la force de
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ativement à ce sous-entendu, dont je soupçonne la
nature
subversive23 la volonté de se consacrer au jeu d’échecs n’est plus al
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t, mais création irréversible. Et cela tient à la
nature
de l’acte, — mieux encore à son origine. Cela tient à l’absolu de la
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s prétextes, de nos dernières incertitudes sur la
nature
et sur les exigences concrètes de l’Esprit ? Mais ne fallait-il pas q
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ographe Max Brod, peuvent nous aider à deviner la
nature
de son dessein énigmatique. Sa passion de l’absolu moral est typiquem
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trouver au travers des lacunes du réel. De quelle
nature
était la transcendance qui a conditionné la vision de Kafka ? ⁂ Dans
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aisante, la nécessité « d’autre chose » — dont la
nature
reste inimaginable. Ce sentiment d’angoisse métaphysique, mais ressen
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’absurdité hostile, et non pas de confiance en la
Nature
. ⁂ Le chevalier de la foi, chez Kierkegaard, exécutait sans cesse le
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et de leurs œuvres ; opposition de la grâce à la
nature
, selon les termes de l’Apôtre ; opposition de la Parole vivante à la
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onnaissance de la foi. Car la foi seule révèle la
nature
radicale du péché. Luther insiste sur cet extrémisme évangélique, que
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qu’on l’aime ? Ainsi l’on se peint plus rosse que
nature
. Gide lui-même, à ce jeu, ne s’est pas épargné : « Je ne suis qu’un p
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us fréquentes, du christianisme : le mépris de la
nature
, et d’autre part, le recours à l’orthodoxie comme à une assurance pri
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it par là même. Gide paraît surtout attentif à sa
nature
complexe et réticente. Or toute nature, irrémédiablement, s’éprouve c
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entif à sa nature complexe et réticente. Or toute
nature
, irrémédiablement, s’éprouve complexe et réticente. Et l’acte de foi
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mot son sens fort : imaginer, c’est imiter non la
nature
naturée, mais la nature naturante. (Nous pourrons dire aussi, un peu
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iner, c’est imiter non la nature naturée, mais la
nature
naturante. (Nous pourrons dire aussi, un peu plus tard, que l’imagina
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rythme : c’est qu’il veut le rythme formé sur la
nature
particulière des choses qu’il évoque, non point sur les modèles génér
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rices de sa race. Il a cette lenteur qu’impose la
nature
physique du pays. Il participe de cette lourdeur originelle d’un peup
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a froid, qui a faim, qui a été jeté au sein d’une
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hostile, de sorte qu’il lui faut sans cesse s’efforcer, ne connaissan
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d’être, les pousser jusqu’à l’expression de leur
nature
primitive, produire au jour leur forme restaurée, — c’est le mouvemen
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l faut être aussi un primitif. » Et d’ailleurs la
nature
dont il parle n’est pas la Nature du Rousseauisme, mais la nature des
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t d’ailleurs la nature dont il parle n’est pas la
Nature
du Rousseauisme, mais la nature des choses. 79. Pour autant, bien en
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arle n’est pas la Nature du Rousseauisme, mais la
nature
des choses. 79. Pour autant, bien entendu, qu’il implique une créati
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ement l’abîme créé par le péché originel entre la
nature
et la grâce. L’Évangile nous le dit formellement : la chair n’hériter
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ituelle des hommes angoissés par le mystère d’une
Nature
hostile et mouvante. La parole de raison qui distingue les choses, le
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avec passion vers les « aspects nocturnes » de sa
nature
. Ainsi naquit le romantisme allemand après le siècle des Lumières. Ai
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viduelle ». Mais quelle est cette réalité ? Notre
Nature
profonde ou la Divinité ? « Plus nous nous retirons en nous-mêmes, no
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nt des apparences, et plus nous pénétrons dans la
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des choses qui sont hors de nous », affirme un des théoriciens du rom
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a catégorie « passivité » nous fait comprendre la
nature
du Silence et de l’indicible dont nous parlaient mystiques et romanti
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ientôt fait de répondre en alléguant notre double
nature
, corporelle et spirituelle. Mais d’une constatation si générale, comm