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manité, et dont les éléments sont presque tous de
nature
collective. L’histoire d’un siècle, c’est l’histoire des collectivité
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Marx révélait ainsi à cette bourgeoisie la vraie
nature
de la société moderne. Aux grands bourgeois libéraux, philanthropes e
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monde — et peut-être eux-mêmes — sur la véritable
nature
des rapports humains et du statut social dont ils étaient les bénéfic
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la poésie pure ou à la contingence des lois de la
nature
! » Mais le marxisme, à la suite surtout des derniers écrits de Marx,
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e cet argument polémique, de ce rappel à la vraie
nature
des choses, ou tout au moins à un aspect des choses qu’on avait cru p
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t, il décrit sans pudeur la part honteuse de leur
nature
réelle. Prenons donc d’abord la thèse matérialiste en elle-même, dans
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a de plus animal, de plus aveuglément soumis à la
nature
, et en même temps qui propose un idéal standard, abstrait, dépersonna
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t par opposition avec les lois inéluctables d’une
nature
tyrannique, entièrement livrée à la nécessité. L’esprit est d’abord j
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oche de déshumaniser l’homme, par ignorance de sa
nature
véritable. Certes, nous sommes dans l’histoire, mais non pas comme la
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pas le seul désespoir réel : celui qui dévaste la
nature
humaine jusqu’à ces profondeurs dernières où l’attend l’espoir éclata
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e dit-on — ni luttes sociales, ni lutte contre la
nature
définitivement asservie. Cet homme sera-t-il encore humain ? Que fera
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est presque impossible d’envisager froidement la
nature
réelle du danger. Cet élan d’opinion populaire, guidé par quelques pr
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1° L’antifascisme, en France, ignore la véritable
nature
de son adversaire. 2° Les politiciens antifascistes, comme tous les p
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usqu’à ce point où le marxisme, révélant sa vraie
nature
, apparaît comme un cas privilégié de la folie capitaliste-matérialist
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institutions, et la morale, c’est méconnaître la
nature
concrète de l’homme, qui comporte le conflit. Les institutions, n’aya
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nne toutes les institutions, c’est reconnaître la
nature
concrète de l’homme, qui comporte le conflit. Les institutions qui co
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Ceci, et cela, pour telles raisons déduites de la
nature
des choses et du destin de l’homme. — Utopie ! Utopie ! Voyez-vous, j
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Dans nos plans, nous parlons des choses, de leur
nature
et de leurs lois, de leur production, répartition et usage humain, et
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e présent état social ne permet pas de prévoir la
nature
. Et je ne donne ici que deux exemples extrêmes, c’est-à-dire simplifi
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condition dans laquelle ils sont nés, soit par la
nature
même de leurs aptitudes. C’est à la fois le plus insaisissable et le
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plus personne non plus pour rien connaître de la
nature
du litige humain. Nous mourrons de la mort des singes.) Perspectiv
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est désormais de créer une tactique déduite de la
nature
de la personne en acte. Pouvoir de la doctrine Nous disons que l
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nécessaires ; 3° La doctrine est enseignante par
nature
, comme la révolution qui est toujours et tout d’abord enseignement, o
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y a plus rien dans l’un qui permette de saisir la
nature
de l’autre, il n’y a plus alors que de l’absurdité pour l’esprit qui
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toute espèce d’engagement. Une pensée qui, par sa
nature
et son mouvement originel, est libérale, irresponsable, ne devient pa
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mande un effort un peu plus grand, et d’une autre
nature
, que l’effort de signer un manifeste ou de s’inscrire dans les rangs
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et satisfait le rêve nostalgique d’un retour à la
nature
, d’une fraternité plus charnelle, d’une communion avec la masse dans