1 1947, Doctrine fabuleuse. Orientation
1 trois mots : mythe, événement, réalité, était de nature à orienter le lecteur mieux qu’un discours d’apparence méthodique mai
2 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
2 tion maximum. Pour confirmer notre soupçon sur la nature de cette aberration, il conviendrait de rappeler ceci : Peter parvien
3 us nos organes. Elle figure « le miroir auquel la nature se regarde en nous ». Elle est ainsi l’agent microcosmique, la puissa
3 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
4 ité véhémente, et comme innocente… Mais jamais la Nature n’a rien produit de pareil. Vous sentez bien qu’il y a du démoniaque
5 rel, c’est le mépris ; rien n’est plus loin de la nature . Voyez comme il se sert des femmes : incapable de les posséder, il le
6 violer. Et c’est cela qui nous fait pressentir la nature spirituelle de son secret, si bien masqué par le prétexte de l’instin
7 r esprit de polémique, c’est qu’il veut forcer la nature autrement qu’on ne l’a fait jusqu’à lui. Polémiste perpétuel, Nietzsc
4 1947, Doctrine fabuleuse. Le nœud gordien renoué
8 re avait dénoué en lui, refaisant le nœud d’après nature , l’aimant parce qu’il était dans sa nature… Celui qui prévoyait la sc
9 ’après nature, l’aimant parce qu’il était dans sa nature … Celui qui prévoyait la science de nos jours, et me disait : « Il n’e
5 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
10 rait le fait d’une sophistique assez gratuite. Ma nature crie à l’utopie devant ma mort. De là vient que l’humanité, dans son
11 vre, et non plus à mourir : cet effort est contre nature . Il naît au déclin de la vie, et fatalement se retourne contre elle.