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trois mots : mythe, événement, réalité, était de
nature
à orienter le lecteur mieux qu’un discours d’apparence méthodique mai
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tion maximum. Pour confirmer notre soupçon sur la
nature
de cette aberration, il conviendrait de rappeler ceci : Peter parvien
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us nos organes. Elle figure « le miroir auquel la
nature
se regarde en nous ». Elle est ainsi l’agent microcosmique, la puissa
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ité véhémente, et comme innocente… Mais jamais la
Nature
n’a rien produit de pareil. Vous sentez bien qu’il y a du démoniaque
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rel, c’est le mépris ; rien n’est plus loin de la
nature
. Voyez comme il se sert des femmes : incapable de les posséder, il le
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violer. Et c’est cela qui nous fait pressentir la
nature
spirituelle de son secret, si bien masqué par le prétexte de l’instin
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r esprit de polémique, c’est qu’il veut forcer la
nature
autrement qu’on ne l’a fait jusqu’à lui. Polémiste perpétuel, Nietzsc
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re avait dénoué en lui, refaisant le nœud d’après
nature
, l’aimant parce qu’il était dans sa nature… Celui qui prévoyait la sc
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’après nature, l’aimant parce qu’il était dans sa
nature
… Celui qui prévoyait la science de nos jours, et me disait : « Il n’e
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rait le fait d’une sophistique assez gratuite. Ma
nature
crie à l’utopie devant ma mort. De là vient que l’humanité, dans son
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vre, et non plus à mourir : cet effort est contre
nature
. Il naît au déclin de la vie, et fatalement se retourne contre elle.