1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 in, j’en vois la preuve dans les formalités d’une nature pour le moins particulière qui précèdent obligatoirement l’acte de na
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
2 jour faiblissent, par accident, la revanche de la nature profonde sera simplement volcanique… Ainsi pensais-je. Et j’oubliais
3 voit donc subitement confrontée non plus avec sa nature , ses déserts, ses émigrés et ses Indiens, mais avec le monde entier,
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
4 la phrase suivante : roseau, le plus faible de la nature mais c’est un roseau. Les mots sont de Pascal, incontestablement. Mai
5 n y mêlant d’autres informations de sources et de nature diverses, qui en recréent le contexte humain et la situent dans le je
6 ée par des vitraux livides et plus sulpiciens que nature . L’autel est dominé par des boiseries sombres, ornées de branches de
4 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
7 chez nous, mais l’autre étant un « sport » d’une nature différente — et c’est la seconde que j’essaierai de décrire. De la
8 ues remarques dont on reconnaît qu’elles sont par nature discutables. Certains critiques américains déclarent que la jeunesse