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es puissances héroïques que l’homme puise dans la
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, repu leurs yeux de merveilleux horizons, purs, libres et tangibles,
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oint, ces puissances héroïques qui naissent de la
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? Et ne faut-il prêter au Suisse que les façons d’être et de sentir d
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s l’harmonie — entre les conditions posées par la
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et les réponses imaginées par l’homme. En d’autres termes, elle est l
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iste que possible, de fonctionner et de durer. La
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même d’un pays à la fois pauvre et compartimenté contraignait les pay
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nant de la part d’un héritier des jacobins : « La
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, dit-il, a fait votre État fédératif ; vouloir la vaincre n’est pas d
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ns de la solidarité lui a été comme imposé par la
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même d’une terre compartimentée, peu productive, et qui appelle une é
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, ou de l’administration publique, ne sont pas de
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à soulever l’enthousiasme ou l’indignation. En revanche, le citoyen s
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que dans de grands pays moins diversifiés par la
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et par l’histoire. On aurait vu l’oppression des campagnes par les vi
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de cet essor, que rien ne faisait prévoir dans la
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des choses ? À la base de tout, nous voyons un calcul juste. Il s’agi
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tions de départ particulièrement défavorables, la
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suisse devait enfin venir en aide au xxe siècle, de la manière la pl
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par les efforts humains plutôt que données par la
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. Il en va de même pour l’évolution des diverses industries : elles se
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d’un Karl Barth qu’elle témoigne de sa véritable
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; ou encore, d’une manière plus diffuse et collective, dans un certai
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« patriotisme suisse », mêlant le sentiment de la
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à une espèce particulière d’enthousiasme politique, que cette page du
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sence n’étant plus discuté, reste à déterminer sa
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et ses limites, dans le cadre général de la neutralité. Deux facteurs
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Liée plus que toute autre au monde entier par la
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de son économie et la pluralité de ses cultures, mais sans cesse mena