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étendu à des rapports plus nobles que ceux de la
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corporelle. Le feu mutuel de plusieurs caractères nationaux différent
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accroissement et à la bonté des productions de la
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, c’est une température uniforme, où tout se trouve en équilibre au mi
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plus doux que les Européens, c’est encore dans la
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des saisons qu’il faut chercher la principale cause. En Asie, loin d’
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é des Asiatiques, il faut encore l’attribuer à la
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des lois auxquelles ils sont soumis. La plus grande partie de l’Asie
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rait parmi eux des hommes braves et courageux, la
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de leurs lois doit s’ajouter à la répugnance de donner essor à leur c
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nditions éminemment favorables dans lesquelles la
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l’a placé pour le développement moral et social de ses habitants… Car
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ur intelligence et leur ingéniosité ont vaincu la
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et permis à leur civilisation de se développer. Suit une théorie des
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sol de l’Europe est uni et son climat tempéré, la
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semble avoir tout fait pour hâter les progrès de la civilisation. Com
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n ! à cet égard, là encore, l’Europe a reçu de la
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de grands avantages. Comme elle est, en effet, toute parsemée de mont
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es féroces, et nous aurons achevé de donner de la
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de ce continent une idée générale. Saint Augustin, dans la Cité de
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rue à Paris en 1816 : En sortant des mains de la
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, notre partie du monde n’avait reçu aucun titre à cette glorieuse pré
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pouvoir de l’esprit humain. Cette région, que la
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n’avait ornée que de forêts immenses, s’est peuplée de nations puissa
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ble déjà l’œuvre de l’intelligence plus que de la
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. L’Europe, c’est le continent qui doit se projeter hors de soi-même,