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étendu à des rapports plus nobles que ceux de la
nature
corporelle. Le jeu mutuel de plusieurs caractères nationaux différent
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plus doux que les Européens, c’est encore dans la
nature
des saisons qu’il faut chercher la principale cause. En Asie, loin d’
3
é des Asiatiques, il faut encore l’attribuer à la
nature
des lois auxquelles ils sont soumis. La plus grande partie de l’Asie
4
rait parmi eux des hommes braves et courageux, la
nature
de leurs lois doit s’ajouter à la répugnance de donner essor à leur c
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nditions éminemment favorables dans lesquelles la
nature
l’a placé pour le développement moral et social de ses habitants… Car
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ur intelligence et leur ingéniosité ont vaincu la
nature
et permis à leur civilisation de se développer. Suit une théorie des
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sol de l’Europe est uni et son climat tempéré, la
nature
semble avoir tout fait pour hâter les progrès de la civilisation. Com
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n ! à cet égard, là encore, l’Europe a reçu de la
nature
de grands avantages. Comme elle est, en effet, toute parsemée de mont
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es féroces, et nous aurons achevé de donner de la
nature
de ce continent une idée générale. Dira-t-on que tous ces auteurs gr
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rue à Paris en 1816 : En sortant des mains de la
nature
, notre partie du monde n’avait reçu aucun titre à cette glorieuse pré
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pouvoir de l’esprit humain. Cette région, que la
nature
n’avait ornée que de forêts immenses, s’est peuplée de nations puissa
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ble déjà l’œuvre de l’intelligence plus que de la
nature
. L’Europe, c’est le continent qui doit se projeter hors de soi-même,
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nsions qui animaient le corps chrétien étaient de
nature
« universelle » ou pouvaient apparaître telles. Elles concernaient to
14
’intelligence supérieure qui lui est impartie par
nature
. (Ne serait-ce pas un équivalent, a-t-on remarqué56, du pouvoir moder
15
gement et la justice aux plaignants, selon que la
nature
des causes le réclamera, simplement et clairement, sans figure et tum
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ur une apparition monstrueuse et qui répugne à la
nature
: « Regarde-toi, si tu le peux, guerrier furieux… Je t’ai imaginé com
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te maladie funeste, est à ce point inhérente à la
nature
humaine que nul ne puisse subsister sans elle, pourquoi les chrétiens
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ent entre eux. Si l’amour réciproque n’est pas de
nature
à les unir, que du moins ils soient unis contre l’ennemi commun…85 Ma
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le avec plus de force sur eux que les liens de la
nature
et du Christ ? La distance d’un pays à l’autre sépare les corps et no
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mmes qui se sont dédiés à l’étude fatigante de la
Nature
et des causes des choses, nous ont tous confirmé que la race la plus
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is l’art arrive à corriger quelques défauts de la
Nature
, mais il n’en supprime pas la racine ; et quand l’art recule, la Natu
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upprime pas la racine ; et quand l’art recule, la
Nature
retourne toujours, peu à peu, à elle-même, et quand l’art est supprim
23
’extrême de l’effémination. La connaissance de la
nature
et la culture des arts aussi utiles qu’agréables, donnent aux hommes
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réflexions si ce mal étoit tellement attaché à la
nature
des Souverainetez & des Souverains, qu’il fût absolument sans rem
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des fruits différents et des trésors de diverses
natures
, que les Européens sont appelés à s’unir et à se bien entendre, pour
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des peuples soumis semblent peu favorisés par la
nature
. Pour commencer par les pays froids du Nord, nous rencontrons le tsar
27
i l’on passe à la zone tempérée, on trouve que la
nature
y a davantage favorisé les hommes ; pour commencer par l’Extrême-Orie
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sonances le latin ; ce qui y retient une certaine
nature
héroïque, c’est la religion effrayante et cruelle, des dieux terrible
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les premières cités ; telle est bien en effet la
nature
des véritables principes d’être à l’origine, et de marquer la fin des
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et les esclaves, et apprendre aux hommes que, la
nature
les ayant faits égaux, la raison n’a pu les rendre dépendants que pou
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s extrême, il se ferait d’abord un partage que la
nature
du pays ne peut pas souffrir. En Europe, le partage naturel forme plu
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oins ils vivraient sous la loi naturelle. La pure
nature
n’a jamais connu ni débats de parlement, ni prérogatives de la couron
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par fenêtre. Vous pourriez bien avoir corrompu la
nature
; elle n’est point altérée dans les îles Orcades et chez les Topinamb
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disais que ce sont les sauvages qui corrompent la
nature
, et que c’est nous qui la suivons ? C. — Vous m’étonnez ; quoi ! c’es
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ns ? C. — Vous m’étonnez ; quoi ! c’est suivre la
nature
que de sacrer un archevêque de Cantorbéry ? d’appeler un Allemand tra
36
ns compter bien d’autres transgressions contre la
nature
dont je ne parle pas. A. — Je vais pourtant vous le prouver, ou je me
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nstinct et le jugement, ces deux fils aînés de la
nature
, nous enseignent à chercher en tout notre bien-être, et à procurer ce
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urs à la société seront donc ceux qui suivront la
nature
de plus près. Ceux qui inventeront les arts (qui est un grand don de
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es hommes insociables corrompent l’instinct de la
nature
humaine. C. — Ainsi l’homme, déguisé sous la laine des moutons ou so
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qui remettent les choses à leur premier point, la
nature
vienne renouveler ses traités avec un autre genre humain. Comme en é
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le possible pour le genre humain, la seule que la
nature
et la religion lui dictent, et la seule qui soit digne de la haute de
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et le feu, les deux plus redoutables agens de la
nature
. Les mathématiques, la chimie, la mécanique, et l’architecture, ont a
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ouir ? Y a-t-il sur le globe des contrées dont la
nature
ait condamné les habitants à ne jamais jouir de la liberté, à ne jama
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erons… les motifs les plus forts de croire que la
nature
n’a mis aucun terme à nos espérances. Si nous jetons un coup d’œil su
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dre ce qui peut les faire mûrir. Un plan de cette
nature
est de ceux qui ne viennent jamais trop tôt, ni trop tard. … Les feui
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uêtes. […] Quand on considère la méchanceté de la
nature
humaine, qui se montre à nu dans les libres relations des peuples ent
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ince gaulois : « (le droit) est l’avantage que la
nature
donne au plus fort de se faire obéir par le plus faible. » […] La po
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éclairé se constituât en une république (qui, par
nature
, doit incliner à la paix perpétuelle), il y aurait ainsi un centre d’
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re, Schiller évoque d’une manière plus précise la
nature
des liens tissés par la Réforme entre les peuples les plus distants l
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port avec l’ancien. Si tant est que le climat, la
nature
du sol, les voisins immédiats, la situation géographique furent la ca
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loi au monde, si un système suivi, approprié à la
nature
d’une grande puissance, faisoit valoir ses prodigieuses ressources.16
52
e. Les individus, perdus dans un isolement contre
nature
, étrangers au heu de leur naissance, sans contact avec le passé, ne v
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le-même, appuyée sur des principes puisés dans la
nature
des choses et indépendans des croyances qui passent et des opinions q
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é aussi heureuse qu’elle puisse l’être, et par la
nature
humaine, et par l’état de ses lumières. Le grand parlement permettra
55
reur Alexandre Ier. Pour une négociation de cette
nature
, de Maistre a peu d’atouts : il condamne d’avance toute idée de rappr
56
’un peuple à un autre : le climat, l’aspect de la
nature
, la langue, le gouvernement, enfin surtout les événements de l’histoi
57
tait le nôtre. Ce degré de culture répondait à ma
nature
et je m’y étais solidement fixé longtemps avant d’être parvenu à la s
58
notre genre de vie sont trop éloignés de la saine
nature
et nos relations sociales manquent de charité et de bienveillance. Ch
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sans cesse occupés à nettoyer de toute poésie la
nature
, le sol, les âmes humaines et les sciences à détruire toutes les trac
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un amour juvénile la miraculeuse splendeur de la
nature
, de l’histoire et de l’humanité. Je vous conduirai vers un frère à la
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rant que de voir l’homme si richement doté par la
nature
, plein d’une force extraordinaire, revêtir un aspect si différent de
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uronnement nécessaire de l’ère historique de la «
Nature
» succédant à celle du « Destin » et annonçant celle de la « Providen
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comme force complètement aveugle, se révèle comme
nature
. Elle paraît commencer avec l’expansion de la république romaine qui,
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des précédentes l’on attribuait au destin ou à la
nature
, se développeront et se manifesteront comme l’œuvre de la providence
65
même ce qui paraissait l’œuvre du destin ou de la
nature
n’était que le commencement d’une providence qui ne se révélait qu’im
66
ctivement les conditions logiques imposées par la
nature
du sujet, lorsqu’il a spontanément circonscrit son appréciation histo
67
e toutes les différences entre les hommes sont de
nature
purement fortuite étant nées de l’habitude et des circonstances, en s
68
re la diversité est l’un des biens suprêmes de la
nature
humaine… En dépit de cela, le siècle dernier a considéré que l’excell
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savoir de l’opposition des contraires et de leur
nature
conciliante. L’Europe, du point de vue du droit constitutionnel, en e
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sympathie. Ce n’est point là la guerre, c’est la
nature
. Ce n’est point là l’agitation de l’Europe, c’est la vie. Ce n’est po
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eux, au moins pour certains cas, un arbitre. Leur
nature
est de commander, non de transiger ni d’obéir. Les princes qui, en 18
72
nt ne peut s’opposer au développement naturel… La
nature
même des choses laisse prévoir le fait que l’Allemagne ne convient pa
73
ir atteint à peu près les limites qu’a tracées la
nature
, et n’avoir plus qu’à conserver ; mais eux sont en croissance222 : to
74
cain lutte contre les obstacles que lui oppose la
nature
; le Russe est aux prises avec les hommes. L’un combat le désert et l
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al entre l’Orient et l’Occident sur le rôle et la
nature
de la « civilisation » elle-même ? C’est bien ce que nous suggère un
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tte bipolarité … a de profondes racines dans la
nature
même des choses et c’est même grâce à ces conflits que l’esprit de l’
77
continents de colonies, sonde les mystères de la
nature
par la recherche scientifique, pénètre dans tous les domaines du savo
78
is l’Amérique, l’enlevant aux forces brutes de la
nature
et aux peuplades indomptables qui l’habitaient, puis il l’a transform
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ses alémaniques qu’ils sont Allemands de par leur
nature
, mais non politiquement. Mais ils se sont déjà détournés de l’Allemag
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te notre philosophie de la vie, et qui a formé la
nature
du monde blanc. Ce monde — la chrétienté — surmonta les périls de la
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notre savoir extérieur et de notre pouvoir sur la
nature
ne fit rien pour apaiser les tensions internes déchirant toujours plu
82
ême coup le principe — enfin dégagé dans sa vraie
nature
— d’une espérance renouvelée et d’une foi invincible. Si les démocrat
83
mos et qu’un ordre strict détermine tout. Cette «
Nature
», les Grecs ne se sont pas contentés d’y croire : ils ont cherché à
84
é primitive en présence des forces aveugles de la
nature
qui la dominent et qui l’effrayent. C’est l’esprit de curiosité et d’
85
ouvrir des isthmes, à pacifier et à civiliser la
nature
. C’est la soif de connaître qui précipite Pline l’Ancien sur le Vésuv
86
ur réside dans le triomphe de la technique sur la
nature
. Véritable Européen, enfin, par la rencontre en lui, le Grec, des tra
87
ce. L’autre, pessimiste par position plus que par
nature
, tient les grands siècles (xie au xiiie ) du Moyen Âge catholique po
88
iel, sans tenir compte des besoins profonds de la
nature
spirituelle de l’homme. Et en même temps nous n’avons plus la même fo
89
ément que l’Européen trahit l’Europe et sa propre
nature
profonde. Nous entendons par esprit socratique, un esprit ouvert aux
90
radition chrétienne accepta pour les choses de la
nature
les méthodes et les principes de la tradition socratique. La traditio
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e savoir est un moyen de prendre possession de la
nature
; attitude qui s’insère entre celle de l’Américain pour qui le savoir
92
u le désir de servir l’homme en le libérant de la
Nature
, qui semble, aux yeux de l’Asie traditionnelle, avoir produit notre t
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si nous rendre comme maîtres et possesseurs de la
nature
». C’est l’idée du Chancelier Bacon : on commande à la nature en obéi
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est l’idée du Chancelier Bacon : on commande à la
nature
en obéissant à ses lois. Il ne suffit plus de connaître le monde ; il
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refus d’être rien d’autre qu’une particule de la
nature
, une créature acceptant le Paradis de la Fatalité ? Et cet Ulysse du
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er et redoubler ses forces recherche la Terre, la
Nature
— mais l’Homme d’Europe ne s’abandonne pas à la Nature : il ne l’acce
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e — mais l’Homme d’Europe ne s’abandonne pas à la
Nature
: il ne l’accepte dans tout son pouvoir qu’après l’avoir « reconnue »
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mpositio » et « recompositio » de Descartes et la
nature
« reproduite » au sens littéral du mot par Claude Lorrain ou par les
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homme de justifier ses actes par ce qui n’est que
nature
, histoire, société. Il doit se justifier devant le tribunal de sa con
100
agine aussi vue de Russie, paraît plus petite que
nature
: physiquement resserrée entre deux grands empires dont les ombres im
101
l’heure actuelle, par leur point de départ et la
nature
de leur recherche. Colomb savait mieux d’où il partait qu’où il irait
102
oderne, depuis le xve siècle de notre ère. Et la
nature
humaine n’ayant guère changé depuis cette époque, il n’y a rien d’éto
103
un mal soudain et grave contre lequel sa robuste
nature
lutte énergiquement. En vain, hélas ! Le médecin sait que les jours d
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t d’esprit. L’esprit souffle où il veut, c’est sa
nature
, mais il lui faut un branchement particulier pour se transposer en ré
105
s contradictions inéluctables qui étaient dans sa
nature
et qu’elle retrouve dans le Monde, projetées par sa propre action, Si
106
ni dans tous ses membres, tout en respectant leur
nature
particulière. Par cette liaison des deux principes se verront en même
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dans l’unité d’organisation mais dans l’unité de
nature
. T. S. Eliot met en garde contre toute planification européenne qui
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anification européenne qui ne respecterait pas la
nature
particulière de notre unité culturelle317 : Le monde occidental tien
109
u sérieux, et le rythme de cette évolution est de
nature
à nous inquiéter sérieusement. Il ne m’a fallu que trois heures pour
110
à 1960) Parmi les centaines de textes de toute
nature
, manifestes de mouvements, déclarations de congrès, résolutions de pa