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ions d’un intérêt majeur, mais qui ne sont pas de
nature
à faire de grosses recettes. La multiplication des barrières douanièr
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ou nous mourrons tous dans les mêmes ruines. »
Nature
des obstacles à l’union Les obstacles à l’union européenne sont ac
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gouvernants autant que les peuples de réaliser la
nature
des périls menaçant de tous côtés l’ensemble de l’Europe ; — enfin et
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’une Fondation européenne de la culture serait de
nature
à modifier, par sa seule existence, le climat intellectuel et moral d
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ou l’esprit signifie : en tirer davantage que la
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seule n’eût produit. Un champ de blé, une maison, un poème, une statu
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rtificiels. L’homme est cet animal qui tire de la
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tout ce qui, sans lui, serait demeuré virtuel, et qui par lui devient
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réation au second degré. Culture, en somme, égale
nature
plus homme. Dès la seconde moitié du xviiie siècle, en France et en
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ides dont l’Histoire n’a pas moins horreur que la
Nature
. Les raisons immédiates de cette décadence sont claires. Deux guerres
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s démocraties occidentales n’auront pas mesuré la
nature
de leur carence fondamentale, et l’intensité aveuglante de la tentati
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es effets de ce que l’homme, indépendamment de la
nature
, a développé dans cette civilisation. Je ne crois pas que l’homme dev
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x d’en conclure que l’homme a de la haine pour la
nature
. Simplement : il ne fait pas attention, obsédé qu’il est par le profi
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a cité. Il serait également faux de penser que la
nature
est bonne, l’homme mauvais. Toute une série de catastrophes dans les
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, inondations en Roumanie, nous rappellent que la
nature
n’a pas répondu à l’Année de la protection de la nature, lancée par l
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n’a pas répondu à l’Année de la protection de la
nature
, lancée par le Conseil de l’Europe, par une Année de la protection de
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tion de l’homme ! Il faut « faire la paix avec la
nature
», dit le rapport Nixon sur l’environnement. Mais en réalité, c’est à
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s, et de comprendre que la guerre qu’il fait à la
nature
est faite en réalité à l’homme lui-même. Si un homme n’a pas de respe
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lui-même. Si un homme n’a pas de respect pour la
nature
, il n’en a pas non plus pour autrui, ni pour soi-même. Protection de
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s pour autrui, ni pour soi-même. Protection de la
nature
, c’est protection de l’homme. L’éducation civique commence avec le re
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e, de dépasser par ses artifices non seulement la
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mais le Naturant, qui est Dieu, et il entreprit d’édifier une tour à
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notre foi, et nos incertitudes sont créées par la
nature
même de nos certitudes. Ce paradoxe s’explique d’une manière assez si
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vérifier sans cesse le pouvoir de l’homme sur la
nature
qui est à l’origine des expériences physiologiques, physiques et méca
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ine, mais aux corps et à la matière et à toute la
Nature
naturée — Nature à laquelle il ne s’agit plus de se conformer, mais q
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ps et à la matière et à toute la Nature naturée —
Nature
à laquelle il ne s’agit plus de se conformer, mais qu’il faut au cont
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former, illuminer et finalement sauver. Ce que la
Nature
« attend » de l’homme, c’est une action qui maîtrise et libère, non p
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du monde peu favorisé par les dons gratuits de la
Nature
— j’entends notre péninsule occidentale de l’Asie — et vous aurez les
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trise et de transformation de la matière et de la
Nature
, effort de création d’un milieu artificiel, au service des fins propr
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eu du ciel, comme Prométhée, et pour soumettre la
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à notre volonté de puissance et de richesse. Et pourtant, la plupart
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et ses rêves éveillés. Il exorcise prudemment une
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peuplée de dieux et leurs intentions malicieuses. L’homme moderne est
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ur toujours. Premières conclusions C’est la
nature
de nos rêves constants qui détermine nos découvertes, donc nos techni
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stion des vraies fins de notre vie et de la vraie
nature
de l’homme. Ne serait-ce pas là, peut-être, son plus grand miracle ?
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dans les plus beaux décors du monde : ceux d’une
nature
humanisée par les styles de nos grandes époques. Entre ces points ext
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ns sa genèse, mais encore essentiellement dans sa
nature
, étant née du complexe physico-spirituel qui a formé l’homme européen
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nts de toute culture. Dialogue de l’homme avec la
Nature
et ses puissances : c’est l’origine de nos magies, puis de nos scienc
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ns prudence en Afrique ou en Asie — elles sont de
nature
à provoquer des heurts violents, ou pire : une dégradation des valeur
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es (africaines, asiatiques, arabes…) me paraît de
nature
à rendre aux nationalistes attardés de nos vingt pays le sentiment co
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lle de l’Europe, donc moins « dialogique » par sa
nature
même. Mais son problème majeur, qui est celui de l’intégration de la
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ction d’ouvrages de large diffusion, décrivant la
nature
propre, l’histoire, les valeurs communes et les problèmes nouveaux de
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n’a rien d’éternel. Il n’est pas « conforme à la
nature
des choses », comme le veulent encore trop de chefs… d’État. La Su