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ccès même faisait naître une menace capitale : la
Nature
irritée lui donnait à comprendre, par certains signes dramatiques, co
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e répondre tant bien que mal aux durs défis de la
Nature
— ceux de son corps et ceux de son environnement. Il s’agissait pour
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t sans relâche de l’homme contre le destin que la
Nature
lui imposait ont finalement permis chez quelques-uns, dans notre sièc
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c’est en effet le premier moyen de commander à la
Nature
en obéissant à ses lois : imperare parendo. Mais à mesure que cet imp
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is peu, que nous sommes devenus plus forts que la
Nature
, ici et là, sectoriellement ou localement, par la culture accélérée,
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trax, la bombe, la pollution, mais qu’à la fin la
Nature
nous vaincra, et je ne dis pas : nous survivra, puisqu’il n’y aura pe
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une décennie aux problèmes de la protection de la
Nature
, de l’environnement naturel et urbain, de la pollution, des nuisances
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ar le Conseil de l’Europe à la Préservation de la
Nature
, a provoqué dans le grand public européen deux réactions contradictoi
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on de Jéhovah, mais d’une espèce d’allergie de la
Nature
et de l’homme naturel aux produits de notre industrie. Ces sept plaie
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e veux parler de la menace de guerre. Elle est de
nature
à modifier tous nos paramètres : c’est en son nom que tel ministre de
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par la maxime utopique : « Chacun pour soi et la
Nature
pour tous. » 2. Les trois figures reproduites sont empruntées à un
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nsciemment la responsabilité de son action sur la
Nature
, et qu’elle y est contrainte par la grandeur même des pouvoirs qu’ell
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ervir l’équilibre entre l’homme, la Société et la
Nature
. Nous sommes socialisés par le danger commun. La seule politique impo
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mode de vie (qualitatif) ? — Exploiter à mort la
Nature
ou conclure avec elle un nouveau concordat ? — Assurer la puissance d
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gélique : — Gagner le monde (quitte à détruire la
Nature
) ou sauver son âme (et sauver la Nature du même coup). Bien sûr, il e
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truire la Nature) ou sauver son âme (et sauver la
Nature
du même coup). Bien sûr, il est plus facile de mesurer la croissance
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ation à prendre pour assurer les équilibres entre
nature
et industrie humaine : songez à la défense du Léman, ou au problème d
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e selon la justice et l’efficacité des tâches par
nature
locales et régionales. Et voilà pourquoi tout bon fédéraliste suisse
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’équilibre dynamique entre l’Homme, la cité et la
Nature
, enfin substituée au dogme unique de la croissance matérielle à tout