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haute échoue. La tristesse règne sur nos villes. (
Neurasthénie
, ce mal de l’Occident.) Et notre vertu suprême, aussi, est douloureus
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Acculés à ce choix : inconscience de ruminants ou
neurasthénie
, est-ce que vraiment vous vous êtes tellement amusés avec vos chers p
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qu’il met d’ailleurs sur le compte de sa fatigue.
Neurasthénie
. La conquête du confort matériel l’a laissé oublier les valeurs de l’
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qui meurt et de ce qui renaît par cette mort. La
neurasthénie
broie les villes, où nous sommes peut-être seuls à connaître la force
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i vaut qu’on l’aime oscille entre l’ivresse et la
neurasthénie
, avec parfois des cris admirables ou des caresses déchirantes, — mais
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Avec cela que vos plaisirs vous amusent tant ! La
neurasthénie
n’est-elle pas une de vos inventions ? Et toute votre littérature est
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qui vaut qu’on aime oscille entre l’ivresse et la
neurasthénie
, avec parfois des cris admirables ou des caresses déchirantes, — mais
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Avec cela que vos plaisirs vous amusent tant ! La
neurasthénie
n’est-elle pas une de vos inventions ? Et toute votre littérature est
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qu’on se prend à mépriser parce qu’il vous tient.
Neurasthénie
. Il y a aussi ces comparaisons qui s’imposent à chaque pas entre les
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ce de leurs concitoyens simplistes a réduits à la
neurasthénie
, et totalement découragés d’agir, de parler ou d’écrire. Et j’ajouter
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appant la poitrine. Ils ne bougent plus. C’est la
neurasthénie
. Ô parabole du tiroir vide ! Irrésistiblement, je l’applique à l’Amér
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Avec cela que vos plaisirs vous amusent tant ! La
neurasthénie
n’est-elle pas une de vos inventions ? Et toute votre littérature est
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i vaut qu’on l’aime oscille entre l’ivresse et la
neurasthénie
, avec parfois des cris admirables ou des caresses déchirantes, — mais
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qui meurt et de ce qui renaît par cette mort. La
neurasthénie
broie les villes, où nous sommes peut-être seuls à connaître la force
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appant la poitrine. Ils ne bougent plus. C’est la
neurasthénie
. Parabole du tiroir vide : irrésistiblement, je l’applique à l’Amériq
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tout, lui aussi se sait la victime d’une sorte de
neurasthénie
: « J’ai vécu dès mes jeunes années sous l’empire d’une immense mélan
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tout, lui aussi se sait la victime d’une sorte de
neurasthénie
: « J’ai vécu dès mes jeunes années sous l’empire d’une immense mélan
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qu’il met d’ailleurs sur le compte de sa fatigue.
Neurasthénie
. » La conquête du confort matériel l’a laissé oublier les valeurs de