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tous les domaines, elle doit surtout s’exercer au
niveau
politique, au niveau de l’administration de la commune. J’appelle « p
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ment simple : elle consiste à faire coïncider les
niveaux
de décisions dans tous les domaines et dans tous les secteurs, avec l
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’est cela le fédéralisme : que chacun fasse à son
niveau
, ce qu’il est capable de faire et que, pour ce qui dépasse son niveau
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capable de faire et que, pour ce qui dépasse son
niveau
, il s’unisse à d’autres. Qu’il ne se fédère que pour cela, et non pou
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la guerre de 1914. On décrirait l’abaissement du
niveau
intellectuel des masses et de la qualité artisanale — la jeunesse qui
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forçait d’entretenir un dialogue « préalable » au
niveau
des gouvernements ecclésiastiques, et la masse des fidèles ignorait t
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L’existence de chacun se trouve déterminée par le
niveau
de plus ou moins forte expansion de l’état. Ce dernier en vient à con
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istribuer les pouvoirs de décision aux différents
niveaux
de communautés (municipalité, région, fédération) correspondant aux d
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ux, et d’en finir avec cette espèce de blocage au
niveau
cantonal de la distribution fédéraliste des pouvoirs de décision. Blo
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inancières, énergétiques, spatiales) dépassent le
niveau
de notre État national. La saine méthode fédéraliste veut alors que c
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ces tâches soient attribuées à des communautés de
niveau
supérieur, continentales le plus souvent, parfois mondiale. C’est ain
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uperont des problèmes réels qui se manifestent au
niveau
des régions : elles pourront notamment mener à bien les recherches le
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-nation : nous péririons tous dans ses ruines. Au
niveau
des pouvoirs concrets, je vois très peu à renverser, tout à construir
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uire l’État, mais de le distribuer aux différents
niveaux
des services qu’il doit rendre aux citoyens. Mais pas question non pl
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recommencer par en bas, créer des liens réels au
niveau
le plus terre-à-terre, à partir de tâches communes et sans exiger d’a
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meilleur atout de notre industrie. On s’agite au
niveau
des cantons, où l’on dénonce « l’emprise croissante de Berne », parti
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t finalement au « niveau de vie » le plus bas, le
niveau
zéro, qui est la mort… Mais pour moi, une Suisse qui ferait ce choix-
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et, plus encore, tel que nous l’écrivons. Cinq
niveaux
À la base — au regard des modernes —, l’instinct sexuel, c’est-à-d
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s en tout temps accessibles. L’érotisme, deuxième
niveau
, est l’usage non procréateur, non fonctionnel de la sexualité. C’est
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e comme de l’économie, et, de la sorte, élever le
niveau
général. Mais elle déborde largement le cadre encore étroit des membr
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manifestations artistiques s’élevant au-dessus du
niveau
des programmes courants, pour atteindre le niveau de la cérémonie exc
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niveau des programmes courants, pour atteindre le
niveau
de la cérémonie exceptionnelle, célébrée dans un lieu prédestiné. Il
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t il est encore moins financier : car à ces trois
niveaux
, la cause est entendue, elle est perdue. Quand les centrales nucléair
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es en gigawatts mais en conséquences pratiques au
niveau
des structures de la société et de l’État. Ce sont les implications p
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its États ont tous les avantages sur les grands :
niveau
matériel, richesse par tête, créativité intellectuelle, etc. sauf un
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ombre de problèmes qui ne peuvent être résolus au
niveau
, trop étroit, des cantons. C’est vrai dans la mesure seulement où les
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ition entre les gens qui veulent la puissance (au
niveau
des États-nations surtout) et ceux qui veulent la liberté des personn
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vu les plans : trente-cinq mètres de large, trois
niveaux
, point de décors ni de rideau, devant une salle de dix mille places.
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up moins sensible parce qu’il s’exerce à tous les
niveaux
, d’en bas jusqu’en haut, par délégation successive et réversible. C’e