1 1934, Politique de la personne. Introduction — Le vrai pouvoir des intellectuels et son usage
1 u’elle a perdu la mesure. Elle a perdu le sens du niveau proprement humain. Cela éclate dans sa politique : elle affirme la Pa
2 1934, Politique de la personne. Introduction — Pour une politique à hauteur d’homme
2 d’homme Toute la question est de savoir à quel niveau l’on situe le concret ; à quelles fins les pouvoirs entendent mener l
3 que par une politique établie dès le départ à ce niveau . 9. Jean-Richard Bloch, parlant de « l’iniquité capitaliste », écri
3 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
4 ne peut être que conservatrice. Elle s’établit au niveau du fait, c’est-à-dire du tout-fait. Elle concerne une réalité totalem
4 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
5 upprimées pour s’établir. Cherchons plutôt à quel niveau une politique donnée entend réaliser ses objectifs ; en d’autres term
6 est le parti de l’ordre. Ils ne voient pas à quel niveau ni à quel prix s’établit cet ordre barbare53. J’ai montré, d’autre pa
5 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Communauté révolutionnaire
7 inextinguible. Le soin de fixer empiriquement le niveau de l’égalité idéale revint à l’Opinion publique, c’est-à-dire à la Pr
6 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
8  : personne encore n’a su le définir et fixer son niveau concret. D’où sa vitalité et son pouvoir mystique. On dit souvent (su
7 1934, Politique de la personne. Appendice —  La Révolution nécessaire
9 lon si on les y compare. Affleurant maintenant au niveau des faits matériels, cet antagonisme radical vient s’incarner dans no