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ibéralisme serait proprement inconcevable. À quel
niveau
situer le terme d’individu ? Un texte des plus significatifs qui tend
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de transfert de l’idée de vocation personnelle au
niveau
collectif de la nation, de l’État ; l’État considéré comme un individ
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aucun État-nation ne voudrait que se produise, au
niveau
européen, ce qui s’est produit à l’intérieur de ses frontières. À cet
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que l’on nommera même peut-être confédération, au
niveau
européen, entre ce qui subsiste des souverainetés nationales. Et, en
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ar personne. La transposition est tentante sur le
niveau
européen d’aujourd’hui, où on imagine mal un pays comme la France acc
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ujourd’hui ne peut évidemment pas être trouvée au
niveau
économique, encore moins au niveau de la politique au sens courant du
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magne), on pourrait instituer un bicaméralisme au
niveau
européen, avec une chambre représentant les peuples, et une autre les
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ais seulement dans une création qui englobe, à un
niveau
supérieur, les exigences de l’un et de l’autre, en leur rendant justi
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vier 1967 La dimension d’une tâche indique à quel
niveau
de compétence cette tâche doit être attribuée : soit à la petite unit
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ational. Si l’on choisit la liberté, à la fois au
niveau
des personnes et des communautés, on s’oriente vers une fédération da
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ion, de choisir ce que sera sa vie. Cela pose, au
niveau
individuel et au niveau collectif, un problème de finalités à travers
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era sa vie. Cela pose, au niveau individuel et au
niveau
collectif, un problème de finalités à travers nos actes les plus quot
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la liberté (modèle alternatif de la fédération au
niveau
politique, et de l’écologie au niveau économique) ? Le problème, c’es
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dération au niveau politique, et de l’écologie au
niveau
économique) ? Le problème, c’est qu’il n’y a pas de liberté, autre qu
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e et l’individualisme débridé : cela signifie, au
niveau
politique, que l’autonomie est profondément souhaitable, mais qu’elle
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d’adéquation de moyens et de fins, aussi bien aux
niveaux
économique, industriel, énergétique, militaire, social, culturel, que
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en même temps qui engage des responsabilités à un
niveau
plus élevé ; il suppose une vocation des communautés, des ethnies, de
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il vit dans une cellule sociale, qu’il dépasse le
niveau
de l’individu isolé, qu’il devient réellement un citoyen ; on dirait
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tralisé, mais au contraire réparti aux différents
niveaux
communautaires, toujours en partant du bas vers le haut, selon la dim
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faut distribuer et répartir l’État aux différents
niveaux
de décision où il peut servir une entité vivante, civique, économique
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la région et aux groupements de régions jusqu’au
niveau
européen ; là, des agences fédérales, du type de la Communauté de Bru
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ns. À tel point que de plus en plus, on parle, au
niveau
européen, de l’établissement d’un “Sénat” des régions (idée lancée pa
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ence dans la conversion individuelle transposé au
niveau
collectif donne la violence révolutionnaire, parce que vouloir tout c
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elles. Ce processus, peu à peu, sera transposé au
niveau
collectif, et c’est là qu’apparaîtra enfin la finalité d’une civilisa
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i sont armés : c’est du gangstérisme transposé au
niveau
international. Si on veut supprimer la guerre, il faut défaire les Ét
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me en tout cas un long processus de maturation au
niveau
individuel, puis au niveau collectif. Au niveau individuel, la révolu
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essus de maturation au niveau individuel, puis au
niveau
collectif. Au niveau individuel, la révolution est l’équivalent de la
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u niveau individuel, puis au niveau collectif. Au
niveau
individuel, la révolution est l’équivalent de la conversion chrétienn
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ojet révolutionnaire part donc d’une réflexion au
niveau
individuel qui se poursuit naturellement par une remise en question d
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tions fondé sur la démission des individus à tous
niveaux
(civique, moral, politique…), et permettra l’instauration d’un nouvel