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s et l’amour divin : Au second tiers conviennent
Noblesse
et Merci ; et le premier est de telle élévation qu’au-dessus du ciel
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ge plus loin notre auteur écrit d’ailleurs : « La
noblesse
du Midi, au contraire, presque affranchie du lien féodal… » Alors ? E
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lle passe par le chemin, si pleine de grâce et de
noblesse
qu’elle abaisse l’orgueil de celui qu’elle salue [auquel elle donne s
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attestent qu’aux yeux des cathares, la véritable
noblesse
est celle du troubadour, de celui qui connaît et pratique les leys d’
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oute moderne et romantique que la passion est une
noblesse
morale, qu’elle nous met au-dessus des lois. Celui qui aime de passio
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x qui vivent dans les cercles de la cour et de la
noblesse
est imprégnée de l’idéal chevaleresque. Cette conception envahit même