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ur lieu commun, a prospéré depuis, par une ironie
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, mais sans porter remède au mal. Je lui ajoute ici un exemple topique
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ne fera rien. Je sais bien que quelques étudiants
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conspués à l’entrée d’un collège américain suffisent à épuiser la cap
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dapest est tellement criante que l’effet d’humour
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paraît délibéré : je crois pourtant qu’il ne l’est pas. C’est leur ma
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’ai lu votre avant-garde, et j’ai vu les pièces «
noires
» desquelles l’élite française fait ses délices. À les en croire, tou
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; mais tout près de nos têtes, les grands espaces
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ouvrent les dimensions insensées du cosmos. Ah ! la vraie vie n’est q
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ts catholiques, faux serments, sorcellerie, magie
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. Tout cela sur un fond d’hérésie bien plus dangereuse alors que ne le
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ion, l’éclatement de tout le conceptuel. Le point
noir
qu’atteint la flèche du tireur aux yeux bandés est le point zéro de l
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ux, cela jaillit et puis, parfois, cela touche le
noir
. De là mon « Tireur zen », mon zen… L’arc est toujours tendu. Et oui,
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. Comme on voit, en fermant les yeux, une statue
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à la place de la blanche que l’on vient de considérer, l’éclipse du m
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uropéistes chevronnés ont déploré cette « journée
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» où de Gaulle les avait empêchés de sacrifier les buts proprement po
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e judo intellectuel dont il est la seule ceinture
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parmi nos artistes et penseurs. J’admire l’économie de ses moyens : u
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le sourire voltairien de Lord Layton, un homme en
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qui porte une longue chaîne en sautoir… Où suis-je ? À quelle époque