1 mètres de l’écran. (Un drap de lit sur le tableau noir .) Une quarantaine de filles et de gars peu bruyants, presque tous lai

2 énergique et de visage intelligent, la chevelure noire en bataille qu’il saisit à pleines mains dans les moments pathétiques

3 nférencier, et nous sortons ensemble. Dans la rue noire , un homme nous rejoint : c’est celui qui a présidé la réunion. Il veu

4 s des rues luisantes, dos longs d’autos jaunes ou noires , harmonie fauve des façades, circulation vibrante aux pieds, fumeroll

5 est canalisée — ce sont ces trois îlots de granit noir couverts de mouettes, et signalés par deux petits phares dont clignot

6 sur leurs géraniums, elles ajustent des lunettes noires … Quelques jeunes gens viennent boire un verre, le soir. Un violoniste

7 haut en bas des façades de brique zigzaguent les noirs escaliers de sauvetage. Dans un sous-sol violemment éclairé, je vois

8 es blanches entre des ifs géants, comme des ailes noires . Je n’en ai jamais vu d’aussi grands, ils montent jusqu’aux fenêtres

9 ont moisis. Nous redescendons. Le ciel est devenu noir . Du portique, entre les hautes colonnes blanches et ces ifs dramatiqu

10 s traces en aboyant. Au fond d’une pièce vaste et noire , une petite lampe fait une flaque rose. « Je ne trouve pas les prises

11 stes blanches délimitées par des lignes jaunes et noires , entre lesquelles se déplacent lentement, de droite à gauche, de gauc

12 volution est inconcevable pour un Asiatique ou un Noir , s’ils n’ont pas eu de contact avec notre civilisation. Car cette idé

13 cine, et nos armes. Les Hindous, les Chinois, les Noirs copient l’Europe pour toutes ces choses, mais nous, nous copions tout

14 l du Taj. (Il a l’air d’un Gitan avec ses boucles noires , il est brahmine, et par un choix délibéré, très orthodoxe, donc très

15 ccupe le centre, s’élèvent des colonnes de pierre noire , hérissées de demi-soucoupes : ce sont des lampes, et tout s’allume l

16 geste. Parfois le prêtre en pagne sort d’un coin noir , et vient planter autour d’une fontaine basse, dans la courette, deux

17 là où la rue tourne et s’éclaire, vers les roches noires et plates du bord de mer, des hommes assis en groupe écoutent une lec

18 o relié. Homme encore jeune, massif, de peau très noire , aux gros yeux blancs, sérieux et lent. Raja Rao lui demande ce qu’il

19 les, le mur du fond tendu d’un seul voile de soie noir chargé de larges signes d’or, Çakuntala dansait des danses classiques

20 ercules au visage rond barré d’énormes moustaches noires , et d’une placidité d’expression qui surprend. Vêtus de blouses bleue

21 aunes. Pantalons blancs étroits, souliers de soie noire , tête nue. Un prince d’Orient, aussi beau qu’on le dit. Légèrement bo

22 s et religieux, fantastiques à la fin (L’Araignée noire ), que Thomas Mann qualifie d’homériques. Toutes les familles l’ont lu