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massif central de sapins et de lacs secrets, cœur
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et tourmenté du continent —, cette région escarpée entre Munich, Salz
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heureuse des violons. Le diable sort des parois,
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et blanc, la ravissante héroïne est à son piano, c’est un duo des tén
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voisin m’apparut, pâle dans son collier de barbe
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. Je sentis que je l’avais déjà reconnu. Il portait une cape bleu-somb
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Se penchant vers moi il prononça : « La nuit sera
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et blanche. » Je ressentis quelque émotion à l’ouïe de cette phrase c
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allusions. Plus tard, dans un petit bar laqué de
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jusqu’à mi-hauteur, puis couvert de glaces qui, reflétant le plafond
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ête frisée jetait des insolences sur les chapeaux
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de ses cavaliers. Tout cela s’empila dans les autos ; en un quart d’h
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iture à l’écart des autres. Une femme aux cheveux
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en bandeaux, au teint pâle, l’air d’autrefois. Il avait murmuré : Mar
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; je reconnus la voiture de la femme aux bandeaux
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. Mais les rideaux étaient baissés. Déjà on criait les journaux du
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s, dont l’une affreusement belle dans un peignoir
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et blanc… Je ne puis avaler mon verre de ce café trop amer qui pince
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Conseil, maigre, jaune et rigide dans son costume
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et or. Si le comte Bethlen venait à la SDN en tenue de magnat, beauco
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iste de Lord Rothermere, en soie blanche sur fond
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. Quelques articles favorables à la Hongrie, au moment où l’Europe se
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cine que nous devons rencontrer le poète. Cheveux
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d’aigle collés sur son large front, belle carrure ruisselante, il nou
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! Les Tziganes vinrent en Europe conduits par le
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Duc d’Égypte ; aussi les nomma-t-on gipsys. Pour leur nom allemand, c
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u Balaton. Ces eaux, je crois, s’en vont à la mer
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, et je n’en connais pas les fées, c’est pourquoi je nageais à brasses
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r aimer ! Je me souviens de ces terrains de sable
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, piqués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses, les dern
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uit — rôder à la recherche de Gérard par les rues
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aux palais vides mais hantés, et dans les grands cafés du centre. Que
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, dans l’odeur des feuilles vivantes, de la terre
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, des mousses. Des fils d’araignée luisent et des brindilles tombent s
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oir de fête, en juin. Il y a dans les marronniers
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des lampions et des touffes de gamins qui regardent avec la bouche ce
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que toutes choses est la rencontre sous un arbre
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d’une femme abandonnée dans sa tristesse. Par moments il y a la Lune
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ages. Je reconnus la jeune fille tzigane, ma Rose
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de Tannenbourg. La lumière délirait doucement, au sein du silence et
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y eut plus qu’une piste de terre entre les sapins
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, la rumeur du rivage et du soleil derrière nous décroissant, tumulte
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des étalons de course, géants aux longs fessiers
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luisants. Sur la plaine éblouissante, des troupeaux de chevaux pâture