1 rs le Nord germanique entre deux parois de roches noires , creusée par un torrent qu’enjambe le pont du Diable. Vers l’est et

2 œur des mois d’été : Ce lieu de glace, et de rocs noirs , et de cieux noirs, Où, dans le pur silence. Au-dessus de toute l’Eur

3 : Ce lieu de glace, et de rocs noirs, et de cieux noirs , Où, dans le pur silence. Au-dessus de toute l’Europe se rencontrent

4 sées les chambres. Escalier aux marches de granit noir . Panoplies d’armes et têtes d’élans, portes sculptées et grands buffe

5 cs couvrant la voûte unique, baptistère de marbre noir et rose tenant la place de l’autel, boiseries sculptées ; et par les

6 Jouve a situé dans ce même palais un récit d’une noire beauté, intitulé Dans les années profondes. 27. À l’exception toutef

7 en détail le contraste entre les pays de houille noire et les pays de houille blanche, entre ceux qui tirent l’énergie du so

8 ns — collines où montent les sapins en bataillons noirs et pensifs s’arrêtant au sommet d’un seul coup — et s’ouvre à l’autre

9 es. Et je m’arrête, fasciné. Un vieux monsieur en noir , au col rond, dur et haut, ce doit être un évêque anglican, somnole.

10 s et religieux, fantastiques à la fin (L’Araignée noire ), que Thomas Mann qualifie d’homériques. Toutes les familles l’ont lu

11 eint de belles Siciliennes au front grec, à l’œil noir , sur un fond de mer romantique. C’est assez nervalien, et Baudelaire

12 t rien ou qui se détruisent elles-mêmes. L’humour noir de cette entreprise — qu’il conduit d’ailleurs en souriant — ne peut

13 Locle La petite Sirène. Des bataillons de sapins noirs montent la garde sur les flancs de la vallée. Vers la fin du xixe si

14 centrale, ces sgraffiti aux larges traits gris et noirs , ou soudain ocre rouge, qui décorent les demeures grisonnes ; ces gra

15 mais qui sans doute ne connaissent guère l’humour noir du romantisme allemand, ni Kierkegaard : toutes les grandes œuvres eu

16 riant sous sa moustache, qui était très forte et noire et cachait son humour. Car Ramuz, antisuisse, est plus suisse que nat

17 e Vert de Gottfried Keller, les Uli et L’Araignée noire de Jérémias Gotthelf, Imago de Spitteler et les romans romands, jusqu

18 t durant des mois la vie d’une tribu de l’Afrique noire , ou celle des Indiens de l’Arizona. La Suisse orientale, notamment le

19 désormais la quitter sans retour, perdus dans le noir sidéral, a éveillé chez beaucoup d’entre nous un amour presque déchir

20 storiques » tels que la colonisation de l’Afrique noire et les passions nationalistes enseignées dès l’école primaire pour le