1 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
1 e vois séparé de beaucoup d’hommes, du plus grand nombre . Et d’abord de ceux qui m’entourent, et qui sont aujourd’hui mes proc
2 du phénomène. Il est vrai qu’on a beau porter un nombre excessif de jupons, cela ne devrait pas suffire à rendre vraisemblabl
3 , c’est tout à fait autre chose. C’est un certain nombre de phrases qu’on lit dans les journaux et qu’on entend dans les assem
4 es de mon état, m’ont amené à me poser un certain nombre de questions et m’ont rendu attentif à quelques faits que je veux con
5 pain du lendemain, et c’est le cas du très grand nombre . D’autre part, ceux qui « jouissent » d’un mode d’existence assuré se
6 e, quelques saints. Mais peut-être aussi un grand nombre d’obscurs croyants. Ceux par qui l’humanité vaut quelque chose, sans
7 er dans la vie provinciale. Je n’ai pas compté le nombre de lignes actuellement exploitées. Mais j’ai pu constater dans plusie
8 sensibilité. Je comprends très bien qu’un certain nombre d’écrivains français aient passé au communisme : il leur fallait cela
2 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
9 parabole de Saint-Lazare. — Il est certain que le nombre de voyageurs qui prennent le train à la gare Saint-Lazare un samedi s
10 e, en effet, à connaître intimement le plus grand nombre de familles de N., leurs circonstances matérielles, leurs difficultés
11 on, sans dimensions, qui est la vie du très grand nombre . Il faut partir d’ici, du niveau le plus bas, du canevas brut et plei
12 t « ces cochons-là ». Ces cochons-là sont donc au nombre de sept ou huit. Il en totalise sept pour son compte, et sa dame fait
13 érosé produirait immédiatement des désordres sans nombre . Une telle stabilité prouverait en effet que les deux puissances cont