1 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
1 m’avouai un trouble que je me refusai pourtant à nommer peur de rire. Cette amertume au fond de tous les plaisirs, cette envi
2 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
2 ntre se trouve placé d’emblée en face de ce qu’on nomme le gros public. L’épreuve est pénible, énervante, souvent fatale aux
3 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
3 es dans cette ville, — du type que Gérard et Théo nommaient « biondo et grassotto », et qu’avec mes amis nous devions baptiser en
4 garder, à cause de la noblesse de sa danse. Je la nomme Clarissa, parce que cela lui va. Mais comme c’est odieux qu’une créat
4 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
5 ain ; alors qu’il est plutôt ce qu’autrefois l’on nommait joliment un fin lettré. (Vraiment le jeu est trop facile. Allez donc
6 ner cette vertu qu’il est vraiment trop facile de nommer l’avarice française, il vous reste à choisir entre le sort de Nietzsc
7 que le fait même de s’y essayer définit ce qu’on nomme à Paris prétention. Méditez un peu cette note de Beausire : « Barrès