1 1940, Journal de Genève, articles (1926–1982). Veille d’élection présidentielle (14 novembre 1940)
1 ortant la devise : « Je voudrais, moi aussi, être nommé capitaine. » La mode des boutons à slogans fait d’ailleurs fureur. L’
2 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Lettre aux députés européens (15 août 1950)
2 . Le 17 février 1848, la Commission de révision — nommée par la Diète dans son sein et au-dehors — se réunit pour la première
3 çons de l’Histoire, que j’ai plus d’une raison de nommer le daltonisme politique. Messieurs les députés, n’oubliez pas la Suis
3 1950, Journal de Genève, articles (1926–1982). Cinquième lettre aux députés européens : « Méritez votre nom ! » (19-20 août 1950)
4 gne électorale organisée par les États, en vue de nommer leurs députés au premier Parlement de l’Europe. Les partis présentero
5 rasbourg. Il faut une Commission ? Vous pouvez la nommer . Le Comité ministériel va s’y opposer ? Vous pouvez passer outre, et
4 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
6 ui deviennent propriétaires, par un système qu’on nommerait de nos jours location-vente. « Il commande des maisons à son maçon co
5 1955, Journal de Genève, articles (1926–1982). Pour un désarmement moral (19 juillet 1955)
7 suivi dans la tombe. Et le Kremlin subit ce qu’on nomme la détente, mot qu’il faut prendre ici dans son sens littéral : un re
6 1963, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Le Dieu immanent, qui s’annonce à leur cœur » (9-10 novembre 1963)
8 nt pages de ses Fondements de la musique ce qu’il nomme sa « phénoménologie de Dieu », qui est en même temps une théologie, i
7 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
9 caisse, elle ne va pas en sortir toute seule. On nomme des comités pour contrôler la bombe ! C’est aussi absurde que si l’on
8 1982, Journal de Genève, articles (1926–1982). Suis-je perdu pour la littérature ? (30 octobre 1982)
10 izaines de jeunes intellectuels, avec ce que l’on nomme aujourd’hui, d’après une thèse célèbre, « les non-conformistes des an