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longeant ou enjambant la Reuss, vers le lac qu’on
nomme
aujourd’hui des Quatre-Cantons (Vierwaldstättersee). Schwyz, c’est au
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gues de la Haute-Allemagne », et ses chefs seront
nommés
dans les traités « ces Messieurs des Ligues ». Toutefois, dans la sec
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fois même on dit que Tell y assistait, ou bien on
nomme
les conjurés : les trois Tells. Ce mythe du Grütli, lentement composé
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ssades à la chapelle de l’ermitage, ou en un lieu
nommé
Kienholtz, et s’il est question d’un fait qui touche les Bernois, par
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tendance toujours plus prononcée vers ce qu’on a
nommé
l’« égalité des inégaux », fondement de toute alliance en tant que fé
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avec le roi une série de traités d’alliance qu’on
nommait
« capitulations ». Les cantons ou certaines familles suisses étaient
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u pays, plus rétive que l’alémanique à ce qu’elle
nomme
« les ukases de Berne ». Mais ce n’est guère qu’au xxe siècle (surto
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nderbund : alliance séparée. C’est ainsi que l’on
nomma
l’alliance d’abord secrète des cantons catholiques, — analogue à cell
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tif, ou municipalité, présidé par le maire (aussi
nommé
syndic ou président de commune, selon les cantons). La commune a le d
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trois pouvoirs habituels. L’exécutif généralement
nommé
Conseil d’État, est un collège de cinq à onze membres, élu par le peu
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la Landsgemeinde, tantôt le Grand Conseil qui les
nomme
. Le Conseil national est élu à raison d’un député par 28 000 habitant
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s sont logés dans le même bâtiment verdâtre qu’on
nomme
le Palais fédéral. C’est aussi dans ce palais, ou Curia confœderation
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’ayant en somme point de cabinet. Leur ministère,
nommé
Département, est administré par des fonctionnaires qu’ils se gardent
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es économiques, par cette forme d’inflation qu’on
nomme
surchauffe, et par un déficit sans cesse croissant de la balance comm
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naux largement autonomes, mais le Conseil fédéral
nomme
son directeur général, tandis que l’administration relève des PTT, do
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s passagers de première classe, en Suisse, je les
nomme
les Imperméables. Ils traversent et passent, et rien ne les touche. C
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des maîtres, et non pas des nations. Ce que l’on
nomme
parfois, pendant la Renaissance, la « nation » d’un musicien ou d’un
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comme employé au Bureau général des Brevets, est
nommé
professeur à l’Université : c’est le temps où il met au point sa théo
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des Arts. Les Anglais, qui ont fait sa gloire, le
nomment
Fuseli et le surnomment « the wild Swiss ». On le redécouvre aujourd’
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ue du xiie au xixe siècle. L’espace aujourd’hui
nommé
Suisse n’a donné quelque chose qui compte qu’au début et à la fin de
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uals. Mais les très rares compositeurs qu’on peut
nommer
, de la Réforme à nos jours, n’ont guère qu’un intérêt archéologique o
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par en haut » ou incapable de s’exprimer ? Ramuz
nomme
« suisses » tous les défauts qu’il voit chez les gens de son canton,
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delaire au surréalisme, a fondé cette école qu’on
nomme
déjà « l’école de Genève », dont Jean Starobinski porte au loin le pr
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rédigea le Code civil de la Turquie. Et l’autre,
nommé
Fritz, s’échappa de la maison à l’âge de 15 ans — dit-il — prit un tr
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me ou du léninisme dans d’autres domaines. Il est
nommé
professeur en Allemagne. Devant les prétentions nationales-socialiste
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iologues d’interpréter. L’un d’eux, Léo Moulin, a
nommé
« indice Nobel » le nombre des prix Nobel de sciences (médecine, chim
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soigner Érasme, auquel il sauva la vie. Il y fut
nommé
professeur à la faculté, contre l’avis des médecins officiels. Plus t
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re système est foncièrement hostile à ce que l’on
nomme
ailleurs la politique. Mais cette vertu fédéraliste se trouve être au
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lic de Brunnen, pas trace de Tell, ni d’un bailli
nommé
Gessler, ni même d’un serment du Grütli. Tel est le fait initial, éta
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tes à prendre pour modèles les anciens Romains et
nomme
Tell « notre Brutus ». Dans le même sens, les réformateurs Zwingli et
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qu’à la Pucelle. C’est un obscur pasteur bernois,
nommé
Uriel Freudenberg, qui va porter le premier coup décisif à la légende