1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
1 des réalités économiques et politiques, l’on peut nommer ici Allemagne, et là, France. Il reste qu’un Empédocle, qu’un Zaratho
2 lèvent, encore une fois, d’un même état d’âme. Le nommer serait nommer l’une des raisons d’être profondes du monde germanique.
3 une fois, d’un même état d’âme. Le nommer serait nommer l’une des raisons d’être profondes du monde germanique. Mais la crain
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
4 de François-Joseph, dont il fut peut-être valet, nomme à leur passage les Karolyi, les Festetics, les Esterhazy, et ces comt
5 ope conduits par le noir Duc d’Égypte ; aussi les nomma-t -on gipsys. Pour leur nom allemand, c’est : Zigeuner ; hongrois : cigá
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
6 choses nouvelles dans l’espace. (Au poète de les nommer .) 22 mai 1929 (Après avoir relu ce que j’écrivais hier.) Il s’a
7 lose en subtilité. Double mouvement dont l’axe se nomme  : l’humain. 10 août 1929 Le retour en troisième classe. Cinqui
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
8 chose s’était produit, d’assez proche de ce qu’on nomme une conversion — terme qui m’a toujours paru inacceptable et offusqua
9 e intellectuel, quelque peu comparable à ce qu’on nommera plus tard en physique atomique une chambre à bulles. Mais chez Charle
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
10 vertie que la leur sur les sujets que je viens de nommer . Ils ne se doutent pas que c’est de cela précisément qu’un écrivain p
11 a… tout près d’ici… quelqu’un — je ne veux pas le nommer , je n’attaquerai personne, moi ! — il y a, dis-je, quelqu’un qui a os
12 d’éviter les lacunes de cette sorte. (Ce que l’on nomme « difficultés de trésorerie » dans les affaires, devient ici, évidemm
13 Nous sommes là, petits individus, devant ce qu’on nomme les « masses », exprimant par cette métaphore notre impuissance à for
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
14 tout si l’on se trouve être par vocation ce qu’on nomme un intellectuel. Je ne m’en tiendrai pas là. Je souhaite que les homm
15 tes. Je dis compagnies d’assurances, mais lui les nomme plus couramment ces « cochons-là ». Ces cochons-là sont donc au nombr
16 Il s’étale en mauvaise humeur. C’est cela que je nomme démoralisation à l’abri d’un faux équilibre, — d’un équilibre sans te
17 fond d’un val qui paraît sans issue, ce grand mas nommé Montaigu… On dit que cela ressemble à l’Albanie. C’est un groupe de h
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Intermède
18 est allongé dans un fauteuil trop bas, et qui se nomme Otto Abetz. Il nous a beaucoup lus, semble-t-il, dans Esprit et L’
19 ls il tient, mais je suis en mesure de vous faire nommer exceptionnellement par Berlin, dans les quinze jours. — À quelles con
20 our vos impressions. Séduit par l’idée de me voir nommé à titre d’adversaire déclaré du régime, je relevai le défi d’Abetz, m
21 même franchise. Trois semaines plus tard, j’étais nommé .
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Avertissement
22 ersité d’une ville que l’on n’a pas jugé utile de nommer .) Le lecteur sera déçu s’il attend une évocation poétique de l’Allema
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
23 aux Deux Magots. Je leur réponds qu’on ne m’a pas nommé dans l’ignorance de mes opinions : c’est ce qui assure ici ma liberté
24 us ces gros cochons qui sont autour de lui (et il nomme les principaux chefs du régime) eh bien moi ! (il se frappe la poitri
25 folies passagères ? Ou bien sont-ils ce que l’on nommera la vérité politique de ce temps, celle qui s’impose déjà à la moitié
26 éalité non numérable le fait qu’il vous faut bien nommer Hitler, c’est une effrayante ironie machinée par la Providence : « Ah
27 bataille décisive n’est pas précisément ce qu’on nomme impartial, mais s’il est incapable d’estimer objectivement les forces
28 e Münster, puis comme comptable. Finalement on le nomme vicaire au service de la « Mission intérieure ». Depuis 1931, il est
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
29 e, sociale ou culturelle de la notion que j’avais nommée , dans le même temps que Mounier, l’engagement. Avant le mot, la chose
30 alisme conduisaient à ce régime de faillite qu’on nomme l’État totalitaire. Nous avons constaté que rien, ni la pensée, ni l’
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
31 t davantage pour vivre en l’état d’illusion qu’on nomme généralement la paix : cette ignorance satisfaite des injustices étab
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
32 affinité entre la vie en uniforme et ce que l’on nomme par convention le mauvais temps. La pluie en ville et la pluie « en c
33 0 Il nous est né hier une fille que nous avons nommée Martine. J’inscris ici, pour qu’elle les lise plus tard, les raisons
34 fois indiqué de céder du terrain : c’est ce qu’on nomme une retraite stratégique. On aurait pu me répondre, en 1940, qu’il es
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
35 illes qui infeste les forêts de l’Est et que l’on nomme poison ivy. Son contact, ou parfois sa seule proximité, produit une s
36 tre jamais livré à ces extravagances naïves qu’on nomme inspiration, anxiété poétique, spéculations et scrupules d’écriture,
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
37 milliers se rassemblent (mon guide prétendit m’en nommer quelques douzaines d’espèces différentes). Tout cela faisait de loin
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
38 pas une difficulté qui subsiste ? Pouvez-vous la nommer  ? — L’esprit de corps.   — Vous me parlez de l’état de grâce quand j’
39 ier ! » Comme je feins de ne pas voir du tout, il nomme A. M… avec imprécations. Chez nos hôtes, je retrouve Saint-Exupéry. I
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
40 Sacrement pour la pureté lustrale de ses eaux, se nomme aujourd’hui le Lake George et fut le Horicon de Fenimore Cooper, le l
41 des milliers de poulets dans un domaine qu’elle a nommé le « Sommet du Monde », parce qu’il s’étend sur une colline dominant
42 plus près de Montréal que de New York. L’hôtel se nomme le Sagamore. Un avis discret à l’entrée disait l’an dernier : restric
43 ons trop grandes, en Amérique.) L’un des maris se nomme Robert, son père était un Canadien français et sa vieille mère est un