1 émorandum du 18 août 1948. C’est ce que la presse nomme aujourd’hui, en simplifiant un peu, la position française. Je la nomm

2 simplifiant un peu, la position française. Je la nommerais plutôt la position fédéraliste. Car si l’on veut que les peuples soie

3 purement consultatif d’un petit Congrès d’experts nommés par les gouvernements. Tout le pouvoir, dans ce cas, reviendrait aux

4 surprenne. Christophe Colomb voyait les Indes, ou nommait ainsi sa vision. Contre vents et marées, contre tous les experts de s

5 serait conçu comme l’agent de ce que Paul Valéry nommait « une politique de l’esprit ». Il s’agit là, bien entendu, d’une vue

6 lva, Georges Villiers. Le baron van Zeeland étant nommé trésorier. La Fondation se transporta à Amsterdam en 1957. Dès l’auto

7 nt irréductible de ce complexe d’antinomies qu’on nomme l’Europe. Quant aux doctrines économiques classiques ou révolutionnai

8 des maîtres, et non pas des nations. Ce que l’on nomme , pendant la Renaissance, la « nation » d’un musicien ou d’un peintre,

9 du Kremlin, lesquels visaient eux-mêmes ce qu’on nomme l’opinion, c’est-à-dire pratiquement la presse et la radio, à quoi to

10 rance et de l’Allemagne, l’Angleterre n’étant pas nommée ni impliquée. Sensation dans la presse, mais aucune suite concrète. U

11 ale et de ce que les Français et les Anglo-Saxons nomment encore les humanités. 3. Depuis plusieurs dizaines d’années, les plus

12 aux exigences nouvelles de la technique et qui se nomment les progressistes ; d’autre part, ceux qui défendent nos traditions h

13 eurs forces instinctives à la technique, et qu’on nomme les réactionnaires, même s’ils sont simplement conservateurs. Leur er

14 mme, rêves qui déterminent dans nos vies ce qu’on nomme les hasards, les trouvailles par hasard, rêves qui sont aussi les gra

15 du xxe siècle, nous avons assisté à ce que l’on nomme souvent l’envahissement de notre vie par la machine. Tous nos grands

16 quelle est assise notre puissance technicienne se nomme la culture générale. Les plus grands inventeurs de tous les temps n’o

17 ulement dans l’histoire de l’esprit et des mœurs. Nommons cela, pour simplifier, culture, et du même coup, nous aurons dit que

18 ur et du plaisir des auditeurs. Cette chose qu’on nomme tout simplement le goût. Comment remédier à cette situation, qui est

19 ur musicale de nos étés européens ? Si je n’en ai nommé qu’une trentaine, c’est parce qu’il s’agissait des « grands » de l’Eu

20 qui s’ignoraient très sereinement avant ce qu’on nomme les grandes découvertes, c’est-à-dire les voyages de Colomb, de Vasco

21 esoins spécifiques de la culture européenne. J’en nommerai cinq. 1. L’Europe a besoin du dialogue avec les autres cultures pour

22 litique n’existe en soi sans qu’on l’ait exprimé, nommé , écrit, avant ou après la date que l’Histoire lui attribue — Histoire

23 n, le contestataire, et le prophète, que certains nomment l’utopiste. 1. Le ludion réagit passivement à l’époque : il n’est pas

24 diate suffira. 3. Quant au prophète, que certains nomment l’utopiste, c’est toute la grande poésie d’Isaïe à l’Apocalypse, d’Es