1 D’après ce que nous en savons, il comportait des notions tout à fait comparables à celles des troubadours : refus de la consom

2 , une discussion générale s’est instituée sur les notions de personne, d’individu et de personnalité. Il existe un mouvement pe

3 ersonnaliste qui a pris pour tâche de démêler ces notions et de fonder sur elles un ordre social renouvelé. Des philosophes tel

4 les équivoques que risquent d’entraîner de telles notions , me paraissent revêtir une importance particulière pour notre pensée

5 ersonne et personnalité. Je préfère illustrer ces notions par des exemples historiques susceptibles de faire image. Si nous rem

6 erchons comment sont apparues dans l’Histoire les notions d’individu et de personne, et les systèmes qui s’y opposent, nous ver

7 qui poussa les physiciens de la Grèce à créer la notion d’atome, les philosophes à formuler le principe d’individuation, les

8 ant aux décisions sacrées de l’État) ; — d’où les notions de gloire et de record. Et Alcibiade coupe la queue de son chien pour

9 utôt illustrées d’exemples historiques, certaines notions fondamentales telles que l’individu et la personne, abordons notre si

10 rsque l’on fonde cette défense spirituelle sur la notion de « Suisse chrétienne », défions-nous d’un certain enthousiasme qui

11 ente, en sa pureté, le centre et l’axe même de la notion chrétienne de la personne, à la fois libre et engagée. Il en résulte