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les élaborées aux origines mêmes de l’Europe ; la
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grecque d’individu et la notion chrétienne de personne. La première r
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de l’Europe ; la notion grecque d’individu et la
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chrétienne de personne. La première remonte aux philosophes présocrat
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ité, et se lia par la suite indissolublement à la
notion
de vocation personnelle. C’est de la conjonction séculaire de ces val
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son temps à expliquer que tout est faux dans ces
notions
, hélas ! courantes, mais qu’aucune science digne du nom ne cautionne
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n même corps, participant du même Esprit — et des
notions
conjointes d’Église et de personne dériveront plus tard le droit des
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in. Dira-t-on que les spécialistes retrouvent des
notions
analogues dans les religions de l’Inde et de la Chine ? Ces spécialis
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nt Européens sans doute ; et, que l’on sache, ces
notions
ne sont point parvenues à provoquer là-bas les mêmes effets, à dégage
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esponsabilité personnelle. Il s’enracine dans la
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chrétienne de la personne humaine, c’est-à-dire de l’individu qui doi
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on principal rédacteur, elle oppose à l’Europe la
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d’enthousiasme, qui serait restée le privilège des Russes et que nos
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nos pays de l’Ouest auraient perdue ; mais cette
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se trouve empruntée à Schelling… À l’égard de l’Europe décomposée et
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Europe sera russe. Pour Kirievsky et ses amis, la
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d’hégémonie organisatrice est capitale : Pour que l’unité de l’Europ
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responsabilité personnelle. Il s’enracine dans la
notion
chrétienne de la personne humaine, c’est-à-dire de l’individu qui doi
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r hasard que l’Europe a produit non seulement les
notions
de personne et de liberté, mais aussi les sciences et enfin les machi
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responsabilité personnelle. Il s’enracine dans la
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chrétienne de la personne humaine, c’est-à-dire de l’individu qui doi
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r hasard que l’Europe a produit non seulement les
notions
de personne et de liberté, mais aussi les sciences et enfin les machi