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ntérêts et leurs intermédiaires. L’Europe est une
notion
de la personne. On n’y accède que par l’éducation, laquelle est antér
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isation occidentale, parce qu’elle s’attaque à la
notion
de l’homme qui fut l’origine décisive de cette civilisation, et qui e
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estera toujours quelque chose ! ⁂ Ceci marqué, la
notion
même d’échanges culturels doit être clarifiée. Pour les dirigeants so
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ent, voir si l’on peut donner à ses habitants une
notion
réaliste des possibilités de développement de leur région dans le cad
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ures existantes ont pour fonction d’enseigner les
notions
de base, d’informer sur l’ensemble des connaissances acquises dans te
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la consommation de la culture au xxe siècle. La
notion
de culture est récente. Aussi récente que la notion d’Art avec une ma
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tion de culture est récente. Aussi récente que la
notion
d’Art avec une majuscule, considéré comme entité spirituelle, substit
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ut à la religion, voire religion en soi. Ces deux
notions
ont suivi à peu près la même évolution sémantique. Jusqu’au xixe siè
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omme cultivé est celui qui a reçu et assimilé des
notions
générales et une méthode de pensée : c’est « l’honnête homme ». Tandi
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« worth living ». Mais ce n’est pas seulement la
notion
, c’est la chose aussi qui est récente, en ce sens que la diffusion de
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es et totalitarismes de toute couleur opposent la
notion
de « cultures nationales », qui est aussi fausse en fait qu’en droit.
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résentés ne sont pas suffisamment rattachés à des
notions
générales (telles que l’interdépendance mondiale, la coopération pour
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entendent lutter contre l’Occident. Réveiller la
notion
et la conscience des ensembles culturels réels permettrait de combatt
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rope gréco-romaine et judéo-chrétienne a conçu la
notion
de genre humain, si longtemps étrangère, voire répugnante, à l’Asie b
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l’énergie, la « flèche du temps » et l’entropie,
notions
de base qui ont une portée métaphysique indiscutable. Et il faudrait
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épartir en quatre groupes. Les uns traitent de la
notion
du genre humain, de l’égalité des hommes, de la liberté et de l’escla
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monde encore plus que chez nous. Retenons donc la
notion
de l’égalité de toutes les cultures, comme une manière simple et comm
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nt par les Occidentaux ne reposent-ils pas sur la
notion
inconsciente, indiscutée mais très discutable d’une réduction des peu
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des arts, depuis le romantisme, est dominé par la
notion
de chefs-d’œuvre ou d’œuvre individuelle faisant date, marquant un to
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à cette formule périmée, en faire autant avec la
notion
sacro-sainte de souveraineté ; et c’est ensuite trouver les éléments
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é dominée pendant dix à douze millénaires par les
notions
de terre sacrée, de bornes sacrées, d’attachement au sol, bref par le
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ontiers ombrageux. Louis Armand remarque que « la
notion
d’indépendance économique a changé complètement de contenu. Le mot “i
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la souveraineté sans limites. L’autonomie est une
notion
relative et très précise, quand on parle par exemple de l’autonomie d
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aient les États-nations. Enfin, il est une grande
notion
que les régions nous amèneront à mettre en lumière, c’est celle de la
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Vers une politique des régions On a vu que la
notion
de région s’est imposée à l’attention des économistes d’avant-garde,
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e du sous-développement en Europe dégage les deux
notions
bien connues que voici : a) l’isolement, le repliement sur soi d’une
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ses réseaux relèvera de la logique des ensembles (
notions
d’inclusion, d’exclusion, d’intersection, de complémentarité, de sour
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res à l’école — ni plus vraies pour autant. Cette
notion
, qui a son origine sous Louis XIV, est mise en forme par la Révolutio
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te de petites communautés restructurées ; et à la
notion
de frontières bornées, celle de foyers librement rayonnants. L’État-n
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la découverte de la Terre, donnant naissance à la
notion
d’humanité. Les Européens ont découvert le Monde, et personne n’est j