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ire viser cette forme de compromis que fournit la
notion
nouvelle d’optimum ? Faut-il se faire soit monstre, soit vedette ou b
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olution, son ressort et sa cause finale, c’est la
notion
, chrétienne à l’origine, de la valeur absolue de la personne humaine
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storien jugera différemment. Car à ses yeux cette
notion
fondamentale, cette conquête majeure de l’Occident, n’est rien de moi
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yen, Rome ; celle, enfin, qui a donné au monde la
notion
totalement nouvelle de l’incarnation de l’esprit dans un homme partic
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ynthèse de ces trois courants, culminant dans les
notions
de personne et de vocation, synthèse qui s’opéra durant les premiers
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vités courantes, sérieuses ou non, dérivent de la
notion
de l’homme introduite par le christianisme. Je ne parle pas ici de l’
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lles ne traduisent pas toujours directement cette
notion
de l’homme, en dérivent, en tout cas, d’une manière démontrable, fût-
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tés, seraient proprement inconcevables sans cette
notion
originelle de la personne. Prenons d’abord le phénomène de la révolut
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du christianisme. De même, nous constatons que la
notion
de révolution a la même extension dans l’espace et le temps que le mo
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difficile qui est le chemin. » On voit ici que la
notion
de vocation, chez Kierkegaard, s’oppose diamétralement à la notion co
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n, chez Kierkegaard, s’oppose diamétralement à la
notion
courante. Car, selon cette dernière, suivre sa vocation, c’est aller
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n terme plus juste — et il insiste pour que cette
notion
trouve sa place dans les conclusions de la table ronde. M. Kogon. —
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rope nous défendrons. Celle dont je parle est une
notion
de l’homme, et non pas une somme d’intérêts dont le reste du monde po
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t de l’extérieur, ou vise un pouvoir étranger. La
notion
propre de révolution, impliquant un changement soudain, un renouvelle
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ur de toutes choses et de l’Ordre lui-même, cette
notion
a la même extension dans l’espace et le temps que le « monde christia
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oilà donc l’atmosphère dans laquelle fut nouée la
notion
dont descendent nos conceptions de l’homme. En apparence, il ne s’agi
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res grecs et latins ne disposaient en fait que de
notions
et de mots inadéquats, au surplus difficiles à concilier. L’hellénism
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iciles à concilier. L’hellénisme avait dégagé les
notions
de l’être distinct, c’est-à-dire de l’Individu, et de la permanence d
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oue » l’ordre naturel pour qu’il se perpétue. Les
notions
de magie, de mythe, de liturgie, l’idéal alchimique et le panthéisme
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ffres, je l’avoue, me laissent mal convaincu : la
notion
même d’un « niveau de vie moyen » n’est pas bien claire, et le devien
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rs, tandis que l’Ouest représente l’impérialisme,
notion
que l’on sent voisine de celle d’esclavagisme… Que l’URSS, en fait, s
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, qui est celle où s’élaborent habituellement les
notions
vagues et puissantes, comme « neutralité » ou « Europe », essayons de
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entendent par neutralité. Divers abus dans la
notion
de neutralité J’ai dit plus haut pourquoi le neutralisme est litté
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e. Qu’en est-il aujourd’hui ? Tout est changé. La
notion
d’équilibre européen a vécu. Les conflits qui menacent d’éclater ne p
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olâtrie ou l’iconoclastie. Elle n’arrive pas à la
notion
de respect, qui est une attitude réfléchie, librement consentie, tout
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ariage. Notre temps, qui a probablement perdu la
notion
de passion amoureuse, parce que celle-ci est plus religieuse que sexu
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ient davantage de limites que de causes. Et cette
notion
de limite, si importante pour lui, le ramène à Rilke, dont il cite ce
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son rôle reste décisif. C’est elle qui a créé la
notion
de genre humain — ignorée ou niée en Orient — par saint Paul et les P
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— par saint Paul et les Pères de l’Église ; et la
notion
de droit des gens par Vitoria, Suárez, Grotius, Vattel et Kant. Et c’
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ns de plus en plus complexes et enchevêtrées. Les
notions
de succession logique et de séparation topographique des éléments dis
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ance des choses et des États, céderont le pas aux
notions
d’interaction et de simultanéité. Distances dévalorisées ou abolies.
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évidemment aux mythes. Je le prévoyais. Prenez la
notion
de cause : la cause et l’effet distingués et opposés. C’est insoutena
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ertains, que je connais, la préparent. 148. La
notion
d’engagement, définie par les personnalistes dès 1932, a été attribué