1 1952, Preuves, articles (1951–1968). « L’Œuvre du xxe siècle » : une réponse, ou une question ? (mai 1952)
1 ire viser cette forme de compromis que fournit la notion nouvelle d’optimum ? Faut-il se faire soit monstre, soit vedette ou b
2 1952, Preuves, articles (1951–1968). Le sens de nos vies, ou l’Europe (juin 1952)
2 olution, son ressort et sa cause finale, c’est la notion , chrétienne à l’origine, de la valeur absolue de la personne humaine
3 storien jugera différemment. Car à ses yeux cette notion fondamentale, cette conquête majeure de l’Occident, n’est rien de moi
4 yen, Rome ; celle, enfin, qui a donné au monde la notion totalement nouvelle de l’incarnation de l’esprit dans un homme partic
5 ynthèse de ces trois courants, culminant dans les notions de personne et de vocation, synthèse qui s’opéra durant les premiers
6 vités courantes, sérieuses ou non, dérivent de la notion de l’homme introduite par le christianisme. Je ne parle pas ici de l’
7 lles ne traduisent pas toujours directement cette notion de l’homme, en dérivent, en tout cas, d’une manière démontrable, fût-
8 tés, seraient proprement inconcevables sans cette notion originelle de la personne. Prenons d’abord le phénomène de la révolut
9 du christianisme. De même, nous constatons que la notion de révolution a la même extension dans l’espace et le temps que le mo
3 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
10 difficile qui est le chemin. » On voit ici que la notion de vocation, chez Kierkegaard, s’oppose diamétralement à la notion co
11 n, chez Kierkegaard, s’oppose diamétralement à la notion courante. Car, selon cette dernière, suivre sa vocation, c’est aller
4 1954, Preuves, articles (1951–1968). La table ronde de l’Europe (janvier 1954)
12 n terme plus juste — et il insiste pour que cette notion trouve sa place dans les conclusions de la table ronde. M. Kogon. — 
13 rope nous défendrons. Celle dont je parle est une notion de l’homme, et non pas une somme d’intérêts dont le reste du monde po
5 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
14 t de l’extérieur, ou vise un pouvoir étranger. La notion propre de révolution, impliquant un changement soudain, un renouvelle
15 ur de toutes choses et de l’Ordre lui-même, cette notion a la même extension dans l’espace et le temps que le « monde christia
6 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
16 oilà donc l’atmosphère dans laquelle fut nouée la notion dont descendent nos conceptions de l’homme. En apparence, il ne s’agi
17 res grecs et latins ne disposaient en fait que de notions et de mots inadéquats, au surplus difficiles à concilier. L’hellénism
18 iciles à concilier. L’hellénisme avait dégagé les notions de l’être distinct, c’est-à-dire de l’Individu, et de la permanence d
7 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
19 oue » l’ordre naturel pour qu’il se perpétue. Les notions de magie, de mythe, de liturgie, l’idéal alchimique et le panthéisme
20 ffres, je l’avoue, me laissent mal convaincu : la notion même d’un « niveau de vie moyen » n’est pas bien claire, et le devien
8 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
21 rs, tandis que l’Ouest représente l’impérialisme, notion que l’on sent voisine de celle d’esclavagisme… Que l’URSS, en fait, s
9 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (mars 1957)
22 , qui est celle où s’élaborent habituellement les notions vagues et puissantes, comme « neutralité » ou « Europe », essayons de
23 entendent par neutralité. Divers abus dans la notion de neutralité J’ai dit plus haut pourquoi le neutralisme est litté
24 e. Qu’en est-il aujourd’hui ? Tout est changé. La notion d’équilibre européen a vécu. Les conflits qui menacent d’éclater ne p
10 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
25 olâtrie ou l’iconoclastie. Elle n’arrive pas à la notion de respect, qui est une attitude réfléchie, librement consentie, tout
11 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
26 ariage. Notre temps, qui a probablement perdu la notion de passion amoureuse, parce que celle-ci est plus religieuse que sexu
12 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
27 ient davantage de limites que de causes. Et cette notion de limite, si importante pour lui, le ramène à Rilke, dont il cite ce
13 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
28 son rôle reste décisif. C’est elle qui a créé la notion de genre humain — ignorée ou niée en Orient — par saint Paul et les P
29 — par saint Paul et les Pères de l’Église ; et la notion de droit des gens par Vitoria, Suárez, Grotius, Vattel et Kant. Et c’
30 ns de plus en plus complexes et enchevêtrées. Les notions de succession logique et de séparation topographique des éléments dis
31 ance des choses et des États, céderont le pas aux notions d’interaction et de simultanéité. Distances dévalorisées ou abolies.
14 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
32 évidemment aux mythes. Je le prévoyais. Prenez la notion de cause : la cause et l’effet distingués et opposés. C’est insoutena
15 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
33 ertains, que je connais, la préparent. 148. La notion d’engagement, définie par les personnalistes dès 1932, a été attribué