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oir d’où l’on vient. Cherchant les origines de la
notion
de personne, dont j’ai dit qu’elle était proprement constitutive de l
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oilà donc l’atmosphère dans laquelle fut nouée la
notion
dont descendent nos conceptions de l’homme. En apparence, il ne s’ag
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res grecs et latins ne disposaient en fait que de
notions
et de mots inadéquats, au surplus difficiles à concilier. L’hellénism
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iciles à concilier. L’hellénisme avait dégagé les
notions
de l’être distinct, c’est-à-dire de l’Individu, et de la permanence d
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Dieu ? Le résultat de ce débat fondamental fut la
notion
de Personne divine, plus tard transférée par analogie à la personne h
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t de l’extérieur, ou vise un pouvoir étranger. La
notion
propre de révolution, impliquant un changement soudain, un renouvelle
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ur de toutes choses et de l’Ordre lui-même, cette
notion
a la même extension dans l’espace et le temps que le « monde christia
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oue » l’ordre naturel pour qu’il se perpétue. Les
notions
de magie, de mythe, de liturgie, l’idéal alchimique et le panthéisme
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ffres, je l’avoue, me laissent mal convaincu : la
notion
même d’un « niveau de vie moyen » n’est pas bien claire, et le devien
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ec l’État, avec une classe sociale, ou avec telle
notion
particulière du cosmos. Quant aux ambivalences de la science, elles s
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tent de 1905 — on observe une dissociation de ces
notions
: le Progrès linéaire, continu, partant du chaos primitif pour se dir
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e, ou peut-être en résulte. Ainsi se fait jour la
notion
toute nouvelle d’une évolution « trop rapide », par là même propre à
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ues dans le cours du Progrès sont nées avec notre
notion
de la personne, elle-même issue des débats trinitaires au cours desqu