1 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
1 l’ancienne Suisse à un État fédératif ; 3° Que la notion de fédéralisme, loin de remonter à Guillaume Tell, n’est devenue bien
2 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les institutions et la vie politique
2 ge, et presque contradictoire dans les termes, la notion d’une souveraineté limitée. Cependant, un siècle d’expérience heureus
3 nt, un siècle d’expérience heureuse a rendu cette notion familière aux Suisses. Ils n’oublient jamais que leurs communautés ca
4 u meilleur sens de ce mot : ce qui subsiste de la notion de politique une fois qu’on l’a débarrassée, d’une part, des motifs p
3 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
5 me partout en Europe, pendant le xixe siècle, la notion de péché s’est vue assimilée avant tout à celle de luxure, ou, pour r
6 un et l’autre, selon le signe dont on affecte les notions de révolte ou d’intégration sociale, de contestation ou de coopératio
7 personne , 1934, que paraît dès l’introduction la notion d’engagement de l’écrivain. En 1938 déjà, j’éprouvais la nécessité de
4 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La Suisse, dans l’avenir européen
8 son rôle reste décisif. C’est elle qui a créé la notion de genre humain — ignorée ou niée en Orient — par les stoïciens et le
9 ar les stoïciens et les Pères de l’Église ; et la notion de droit des gens par Vitoria, Suárez, Grotius, Vattel et Kant. Et c’
10 ns de plus en plus complexes et enchevêtrées. Les notions de succession logique et de séparation topographique des éléments dis
11 ance des choses et des États, céderont le pas aux notions d’interaction et de simultanéité. Distances dévalorisées ou abolies.