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ses conséquences extrêmes au xxe siècle avec la
notion
d’autarcie, a créé une situation générale que l’on peut définir comme
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isation occidentale, parce qu’elle s’attaque à la
notion
de l’homme qui fut l’origine décisive de cette civilisation, et qui e
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es et totalitarismes de toute couleur opposent la
notion
de « cultures nationales », qui est aussi fausse en fait qu’en droit.
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vogue des festivals ; et dans l’enseignement, la
notion
subversive d’une entité européenne qui ne fût pas simple addition des
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outes les lois du sacré tribal et collectif ; les
notions
d’individu, de personne, et de vocation personnelle, en contradiction
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ire viser cette forme de compromis que fournit la
notion
nouvelle d’optimum ? Faut-il se faire soit monstre, soit vedette — ou
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des arts, depuis le romantisme, est dominé par la
notion
de chefs-d’œuvre ou d’œuvre individuelle faisant date, marquant un to
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rope gréco-romaine et judéo-chrétienne a conçu la
notion
de genre humain, si longtemps étrangère, voire répugnante, à l’Asie b
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l’énergie, la « flèche du temps » et l’entropie,
notions
de base qui ont une portée métaphysique indiscutable. Et il faudrait
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rte d’ascèse disciplinée, dont ils n’ont guère la
notion
ni le goût. Mais la technique occidentale fait bien plus que leur rév
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semble du genre humain. C’est, en effet, de cette
notion
de l’unité du genre humain qu’il nous faut partir aujourd’hui si nous
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fuser et de lui opposer des idéaux nouveaux ; les
notions
de l’homme, de la liberté ou de l’amour, spécifiques de chacun de ces
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e. — Toute géographie « nationale » fondée sur la
notion
de « frontières naturelles » est un non-sens. Ni les ethnies, ni les
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» toujours possible. Depuis ce temps lointain, la
notion
d’engagement a fait demi-tour dans l’esprit du public : on croit bonn