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olution, son ressort et sa cause finale, c’est la
notion
de la valeur absolue de la personne humaine — de chaque personne huma
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vités courantes, sérieuses ou non, dérivent de la
notion
de l’homme introduite par le christianisme. Je ne parle pas ici du co
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lles ne traduisent pas toujours directement cette
notion
de l’homme, en dérivent en tout cas d’une manière démontrable, fût-ce
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ivités, seraient proprement inconcevables sans la
notion
originelle de la personne. Mais plus inconcevable encore, ce qui les
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un phénomène caractéristique du christianisme. La
notion
de révolution a la même extension dans l’espace et le temps que le mo
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que de l’individu et de la cité conciliée dans la
notion
de citoyen. Mais le moment crucial de toute l’évolution spécifiquemen
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r le concile de Chalcédoine. La personne humaine,
notion
déduite des dogmes relatifs aux trois Personnes divines, et surtout à
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à cette formule périmée, en faire autant avec la
notion
sacro-sainte de souveraineté ; et c’est ensuite trouver les éléments
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é dominée pendant dix à douze millénaires par les
notions
de terre sacrée, de bornes sacrées, puis à l’attachement subi au sol,
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de la souveraineté illimitée. L’autonomie est une
notion
relative et très précise, quand on parle par exemple de l’autonomie d
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aient les États-nations. Enfin, il est une grande
notion
que les régions nous amèneront à mettre en lumière, c’est celle de la
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Vers une politique des régions On a vu que la
notion
de région s’est imposée à l’attention des économistes d’avant-garde,
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e du sous-développement en Europe dégage les deux
notions
bien connues que voici : a) l’isolement, le repliement sur soi d’une
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s réseaux relèveront de la logique des ensembles (
notions
d’inclusion, d’exclusion, d’intersection, de complémentarité, de sour